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Thierry Klethi

Thierry Klethi

Régalez-vous avec de délicieuses recettes santé faites maison avec amour.

Recette pour deux personnes. Prévoir un temps de préparation de dix minutes, ainsi qu’un temps de cuisson de quinze minutes.          

Présentation.

Dans cet article vous découvrez le matériel nécessaire pour préparer cette recette d’Aubergine à la mozza, ainsi que les ingrédients nécessaires et l’aspect pratique de la réalisation de votre recette.

Ensuite, vous pourrez découvrir les apports de la consommation des différents ingrédients de cette excellente recette.

A présent, c’est le moment d’aller cuisiner pour préparer cette délicieuse recette d’aubergines à la mozza et vous régaler en mangeant un plat préparé par vos soins avec amour.

MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE d'aubergines à la mozza

  • Un four.
  • Un plat à gratin.

OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

L’aubergine.

L’acheter

La peau de l’aubergine doit être intacte, lisse et presque « vernissée », avec un pédoncule bien vert. Préférez l’aubergine de petite taille (200 grammes maximum). Ainsi, il y aura moins de graines à l’intérieur et la chair ne risque pas d’être farineuse ou amère. Enfin, vous pourrez même la consommer avec sa peau. 

La consommer. 

Il est inutile de la faire dégorger avant de la préparer. Cela préservera ainsi au mieux sa richesse minérale. Je peu les cuire à la vapeur avec des fines herbes et une vinaigrette légère. Ou alors les faire braiser à l’étouffée avec d’autres légumes tells que des tomates, des courgettes, etc. Enfin on peut également les faire griller en tranches épaisses avec un filet d’huile d’olive. 

La conserver. 

L’aubergine se garde jusqu’à une semaine dans le bac à légumes du réfrigérateur. 

La mozzarella. 

L’acheter.

On en trouve dans tous les commerces, ainsi que chez votre crémier. Cependant, je vous conseille de privilégier l’achat du fromage de chèvre en circuit cours directement chez le producteur.  

Cela nous permet de découvrir de nouvelles saveurs non formatées par la grande distribution et ils seront forcément plus frais et bien meilleur. 

Le fromage est un produit vivant, il continue d’évoluer après sa mise en vente. Laissez-vous guider par l’aspect et l’odeur. Chaque type de fromage présente une odeur spécifique, qui doit être franche et agréable. Une odeur d’ammoniaque, une couleur non uniforme, une texture trop coulante ou l’apparition de moisissures inhabituelles sont signe d’une mauvaise conservation ou que le produit est trop avancé.

La consommer. 

Une portion de 30 à 40 grammes de fromage par jour permet de profiter de sa richesse en protéines et en calcium sans risque de surcharge en lipides saturés. Evitez de cumuler dans le même repas une portion de fromage et un autre plat qui en contient déjà (gratin, tomates-mozzarella, etc.). Si vous appréciez la diversité, adaptez la taille des portions consommées (20 grammes de chèvre et 20 grammes de comté par exemple). 

Le conserver. 

Conservez les fromages au frais, chacun dans un emballage séparé (film étirable) pour limiter leur déshydration et l’ensemble dans une boite hermétique pour éviter que leur odeur n’imprègne les autres les autres aliments. Vous pouvez les garder environ 1 semaine après l’achat. Sortez les 1 heure avant de leur consommation, car le froid affadit les arômes et durcit les pâtes. Nettoyez votre plateau ou votre boite à fromage une ou deux fois par semaine pour prévenir la prolifération de bactéries indésirables. Pour les mêmes raisons, pensez à lessiver très régulièrement les clayettes de votre réfrigérateur sur lesquelles vous entreposez les fromages emballés. 

La tomate. 

L’acheter

La tomate a plus de gout de mai à septembre. Choisissez-la bien colorée (les plus rouge contiennent davantage de lycopène), avec une peau lisse et sans taches. Les tomates en grappe doivent être bien attachés à leur tige et cette dernière doit être bien verte. 

Certaines variétés sont adaptées à la cuisson (cœur-de-bœuf, Torino, etc.) ; d’autres, plus fermes, sont meilleures crues (olivette, tomate jaune). Les tomates cerises et cocktail, douces et parfumées, sont délicieuses crues et cuites. 

L’hivers, les tomates n’ont pas de goût, vous pouvez alors utiliser des tomates pelées en conserve pour vos sauces et potages. 

La consommer. 

Pour limiter la quantité d’huile dans l’assaisonnement d’une salade de tomates, ajoutez des herbes, de l’échalote ou de l’oignon et laissez reposer quelques minutes pour que le jus des fruits dilue la sauce. 

Le conserver. 

Le froid diminue la saveur et modifie la texture des tomates : sauf grosse chaleur, mieux vaut les stocker à température ambiante, dans la corbeille de fruits, où elles continueront à mûrir pendant 3 à 4 jours. Les tomates en grappe se conservent un peu plus longtemps (6 à 7 jours), attachées à leur tige. 

En pleine saison, on peut faire des coulis à congeler ou à mettre en bocaux pour l’hiver. 

Les produits bio

Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.

Comment réaliser vos aubergines à la mozza ?

Pour 2 personnes.

Votre temps de préparation est de 10 minutes.

Laissez mijoter pendant 15 minutes.

Quelles sont les ingrédients pour réaliser la recette des aubergines à la mozza ?

  • Prenez une aubergine. 
  • Ainsi qu’une boule de mozzarella. 
  • Deux tomates. 
  • Et un filet d’huile d’olive 

Comment préparer vos aubergines à la mozza ?

  • préchauffez le four (très chaud).  
  • Puis, je rincez l’aubergine et la tomate sans les éplucher (en cuisine, souvent, moins on en fait, mieux ça vaut).
  • Coupez les légumes en tranches à peu près égales (environ 1 cm, pas moins, sinon tout risque de s’effondrer à la cuisson). 
  • Ensuite procédez de même avec le fromage. 
  • Badigeonnez le tout avec un peu d’huile d’olive. 
  • Puis, rangez les tranches une par une dans votre plat, en les alternant. 
  • Enfournez pour environ quinze minutes de cuisson. 

Et régalez-vous !!!

Quels sont les principaux apports nutritionnels de ces ingrédients ?

L’aubergine.

Des flavonoïdes (les anthocyanines).

Les flavonoïdes de l’aubergine, les anthocyanines sont des pigments très colorés qui sont antioxydants et nous protèges de certains cancer. Ils pourraient également nous protéger des risques cardiovasculaires. 

Des fibres 

Parmi ses fibres, ce sont surtout ces pectines, qui stimulent l’intestin en douceur et favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol. 

Du Potassium 

Le potassium contenu par l’aubergine domine largement, la rendant diurétique et conditionnant la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). 

En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.

Pour découvrir tous les bienfaits de l’aubergine consultez l’article du site « la santé naturopathe » qui vous dévoilera ses origines (histoire et/ou géographie), ses principales qualités nutritionnelles, ses principales qualités de soins, ainsi que comment la consommer.

Découvrez tout cela en sélectionnant le bouton ci-dessous :

La mozzarella.

Des protéines.

Les protéines animales issues du lait et des produits laitiers font partie des sept constituants de base de notre alimentation avec les glucides, les lipides, les vitamines, les oligoéléments et minéraux et l’eau. Ce sont les seules sources d’azote que l’homme peut utiliser. Sachant que l’azote est indispensable à la vie. 

Ces protéines sont dites « complètes » car elles ont des teneurs très élevées en acides aminés essentiels, assez proches des besoins de l’homme. 

Cependant elles apportent beaucoup de lipides, de cholestérol et des déchets dont l’accumulation peut être nuisible à la santé. De ce fait, elles seraient à l’origine de nombreuses maladies cardio-vasculaires et de certains cas d’obésité.

Des lipides.

Elles proviennent de graisses ajoutées et des aliments gras. Les lipides, dans les recommandations officielles française, sont proposés à hauteur de 35 à 40 % des calories totales. Cependant, elles englobent plusieurs familles de graisses qui sont les acides gras : saturés, insaturés, trans, essentiels, furaniques et volatils. 

Les fromages renferment énormément de graisses saturées, c’est pour cette raison qu’il est recommandé de limiter sa consommation surtout en cas de surpoids ou de risques cardiovasculaire, car ces matières grasses sont en majorité saturées. 

Du calcium. 

Une bonne source de calcium facilement assimilé et stocké par l’organisme grâce à la présence de la vitamine D, que l’on trouve aussi dans les fromages en quantité relativement intéressante 

Du sodium. 

Tous les fromages sont additionnés de sel (sodium). Les personnes qui suivent un régime pauvre en sel doivent restreindre leur consommation de fromages et choisir ceux qui sont les moins salés. Cette surveillance s’applique aussi à la population générale, car le plafond qu’il ne faut pas dépasser est très vite atteint 

Du cuivre.

Un excellent apport en cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres. 

Du phosphore. 

Un bon apport en phosphore qui joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins. 

Du sélénium.

Un bon apport en sélénium qui est un minéral qui interagit avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active. 

De l'iode. 

Un bon apport en iode qui est un oligo-élément essentiel à la régulation et à la production des hormones de la thyroïde, responsable du métabolisme de base de l’organisme, de la respiration cellulaire, de la production d’énergie sous forme d’ATP, mais aussi de la croissance, de la synthèse des protéines, de la bonne santé de nos organes et de notre cerveau. Il permet de réguler la production d’hormones. 

Des vitamine A (rétinol ou bêta-carotène). 

Un bon apport en vitamine A Qui a un rôle important dans la vision, notamment au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité. Elle participe aussi à la croissance des os, à la reproduction et à la régulation du système immunitaire. Ainsi qu’elle contribue à la santé de la peau et des muqueuses (yeux, voies respiratoires et urinaires, intestins), qui constituent notre première ligne de défense contre les bactéries et les virus. En outre, elle est essentielle à la différenciation et la croissance cellulaire, car elle participe à la transcription de certains gènes et à la synthèse de certaines protéines. Enfin, elle favorise également l’absorption du  fer et semble jouer un rôle dans la régulation des réponses inflammatoires. 

Des vitamine B2 ou riboflavine. 

Un bon apport en vitamine B2 qui participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte. 

Des vitamine B9 ou folate.

Un bon apport en vitamine B9, ou acide folique, ou également folate qui participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus. 

Des vitamine B12 ou cobalamine. 

Un apport en vitamine B12 qui est essentielle à la croissance, à la division cellulaire, au fonctionnement adéquat de toutes les cellules du corps et à l’équilibre du système nerveux. Elle intervient plus précisément dans la synthèse de l’ADN et de l’ARN, des protéines, de la myéline (substance qui forme une gaine autour de certaines fibres nerveuses), dans la formation des globules rouges, ainsi que dans le métabolisme des glucides et des lipides. 

Des vitamines D. 

Un apport en vitamine D également appelée calciférol qui intervient dans le l’absorption du calcium et du phosphore. Elle joue un rôle essentiel dans la minéralisation des os. Il s’agit d’une vitamine liposoluble (solubles dans les graisses).  

La vitamine D a deux origines : l’alimentation et une production par la peau quand elle est exposée aux rayons solaires. Les personnes qui vivent dans des régions peu ensoleillées ou qui sortent peu (personnes âgées) doivent tout particulièrement veiller à leurs apports d’origine alimentaire. 

La tomate.

Des flavonoïdes (Lycopène). 

La carte maîtresse de notre tomate est sa capacité extrêmement antioxydante dû aux flavonoïdes qui neutralisent les radicaux libres responsables des maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux… Ils sont reconnus pour leurs capacités antioxydantes et anti-inflammatoires. 

Des fibres.

Elle contient de très nombreuses fibres douces qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol. 

Du potassium. 

La tomate est riche en potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant. 

Vitamine C. 

Elle contient de la vitamine C qui participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres. 

Vitamine E. 

La tomate contient également de la vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur. 

Carotènes.

Elle contient des carotènes et les bêta-carotènes, sont des précurseurs essentiels de la vitamine A, dont les effets bénéfiques semblent reconnus depuis fort longtemps. Ils agiraient en tant qu’antioxydants contre les radicaux libres. De plus, ils interviendraient également dans la régulation des défenses naturelles de l’organisme. 

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :

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Bonne dégustation de vos aubergines à la mozza et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette.

A très bientôt,

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