Bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre.

Bonjour à toutes et tous,

Je vous propose aujourd’hui de réaliser une excellente de Bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de la réalisation de notre Feta. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne vous attardez pas trop, lancez-vous, allons-y et réalisons ensemble ce Bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre. Et surtout régalons nous.

Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour. 😊

Matériel nécésaire pour préparer la recette :

  • Un four.
  • Une casserole antiadhésive
  • Un saladier.
  • Une cocote (qui peut aller au four).
  • Un presse-purée.

Où et quels produits acheter ?

Les côtes de bœuf et le lard.

On en trouve dans tous les commerces alimentaires, mais elles seront surement meilleur si elles viennent de chez votre boucher de proximité !

Les pommes de terre et les pousses d’épinards.

On en trouve également dans tous les commerces alimentaires, mais elles seront meilleur si elles viennent de chez un producteur local ou du marché.

Les produits laitiers (crème allégée, parmesan et lait).

Encore une fois, on en trouve dans tous les commerces alimentaires, mais ils seront surement meilleur s’ils viennent de chez votre crèmerie de proximité.

Les produits bio.

Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.

Ma touche personnelle.

Le blé se marie bien avec les viandes mijotées. Mais de nombreuses personnes ne le tolèrent pas car il fait partie des FODMAPs et plus précisément des Fructanes. Je l’ai donc remplacé par des pommes de terre qui sont bien supportées.

En variante, je vous propose de napper les boulettes de pommes de terre avec le jus de cuisson de la viande. 😉

Je réalise le bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre.

POUR 6 PERSONNES.

Le temps de préparation est de 15 minutes.

Le temps de cuisson est de 3 heures.

Les ingrédients pour réaliser le bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre.

Pour la viande et le dressage.

2 c. à soupe de Maïzena

Du sel et du poivre noir fraîchement moulu

1,2 kg de basses côtes coupées en dés de 3 cm

80 ml d’huile de colza infusée à l’ail

500 gr de tranches de lard coupées en fines lanières

700 gr de pommes de terre nouvelle coupées en quatre

125 ml d’eau-de-vie

2 c. à soupe de moutarde à l’ancienne

125 ml de crème allégée

250 ml de bouillon de bœuf sans gluten si vous suivez régime sans gluten)

(ou plus si nécessaire)

80 gr de jeunes pousses d’épinards

Du persil plat ciselé (pour la garniture)

Pour les boulettes.

2 grosses pommes de terre à peau rouge, sans la peau

185 ml de lait écrémé

40 gr de beurre

100 gr de fine farine de riz

75 gr de Maïzena.

3 c. à soupe de farine de tapioca

40 gr de parmesan râpé

2 c. à soupe de persil plat ciselé

Du sel et du poivre noir fraichement moulu

Pour préparer le bœuf au bacon en cocotte et boulettes de pommes de terre, je

préchauffe mon four à 140 °C.

Puis, je mélange dans un grand saladier, la Maïzena, le sel et le poivre.

J’ajoute les morceaux de viande.

Je mélange bien afin que la viande soit bien recouverte avec la préparation. Puis, je retire l’excédent.

Dans une poêle, je fais revenir le bacon, puis je les réserve dans un saladier.

Je fais chauffer à feu modéré 2 cuillères à soupe d’huile et je fais dorer les pommes de terre durant 6 à 8 minutes.

Puis, je les transvase dans le saladier contenant les lardons et je mélange le tout.

Je verse 1 cuillère à soupe d’huile dans la poêle et j’ajoute la moitié de la viande que je laisse dorer durant 2 minutes en remuant de temps à autre.

Puis, je transvase dans un saladier contenant les lardons et les pommes de terre.

Je mélange le tout.

Je procède de même avec le reste de la viande.

Puis je verse le tout dans la poêle.

Dans un saladier, je mélange l’eau-de-vie, la moutarde, la crème et le bouillon.

Puis, je verse cette sauce sur le mélange qui se trouve dans le poêle.

Je porte à ébullition à feu modéré.

Puis, je retire du feu et je sale et poivre.

Ensuite, je verse l’ensemble dans une cocotte pouvant aller au four.

Je couvre et j’enfourne durant 2 heures.

Pendant ce temps, je prépare mes boulettes.

Je mets les pommes de terre dans une grande casserole et je les recouvre d’eau froide.

Puis, je porte à ébullition et je laisse cuire durant 15 minutes (je vérifie qu’elles sont cuites avec la lame d’un couteau). 😉

Je les égouttes, les laisse refroidir pendant 5 minutes et les épluches.

Puis, je les remets dans la casserole et j’ajoute le lait et le beurre.

J’écrase le tout en purée.

Dans un saladier, je tamise trois fois la farine de riz et la Maïzena (ou je me sers d’un fouet pour être sûr de bien les mélanger).

Je verse le mélange dans la purée, puis j’ajoute le parmesan et le persil.

Ensuite, je sale et je poivre.

Je forme mes 12 boulettes.

Puis, je sors ma cocotte du four, j’ajoute les épinards et les boulettes de pommes de terre.

Je couvre et j’enfourne durant 20 minutes.

Puis, je retire le couvercle et je laisse encore cuire 15 à 20 minutes de plus, jusqu’à ce que les pommes de terre soient bien dorées et que la viande soit tendre.

Je saupoudre le persil et je sers.

Et je me régale. MIAMMM

Ma touche personnelle.

Si vous avez une cocotte en fonte qui peut aller sur le « feu » et dans le four, la recette pourra être simplifiée. 😉

Personnellement, je n’en ai pas et c’est pour cela que j’utilise une poêle sur le « feu », puis je transvase mes ingrédients.

Les principaux apports nutritionnels de mes ingrédients.

Les Pommes de terre.

Flavonoïdes (catéchines).

Les flavonoïdes neutralisent les radicaux libres responsables de maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux…

Vitamine B1 (thiamine).

La vitamine B1 participe à de nombreuses réactions métaboliques des glucides, de production d’énergie et du bon fonctionnement de notre système nerveux.

Vitamine B3 (niacine).

La vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l’alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.

Elle apporte aussi une quantité importante de minéraux : potassium, phosphore, magnésium ; ainsi que de nombreux oligo-éléments : fer, zinc, cuivre, manganèse…

Vitamine C.

La vitamine C participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.

Potassium.

Le potassium conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse de protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion du suc gastrique et la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang.

Manganèse.

Le manganèse est une enzyme qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Ainsi que la prévention des dommages causés par les radicaux libres.

Les côtes de Bœuf

Fer

Le fer est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.

Cuivre.

Le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.

Phosphore.

Le phosphore joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe également à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH du sang.

Sélénium.

Le sélénium est un minéral qui travaille avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.

Zinc.

Le zinc participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.

Vitamine A (rétinol).

La vitamine A à un rôle important dans la vision, notamment au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité. Elle participe aussi à la croissance des os, à la reproduction et à la régulation du système immunitaire. Ainsi qu’elle contribue à la santé de la peau et des muqueuses (yeux, voies respiratoires et urinaires, intestins), qui constituent notre première ligne de défense contre les bactéries et les virus. En outre, elle est essentielle à la différenciation et la croissance cellulaire, car elle participe à la transcription de certains gènes et à la synthèse de certaines protéines. Enfin, elle favorise également l’absorption du fer et semble jouer un rôle dans la régulation des réponses inflammatoires.

Vitamine B2 (riboflavine).

La vitamine B2 participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte.

Vitamine B3 (niacine).

La vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l’alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.

Vitamine B5 (acide pantothénique).

L’acide pantothénique ou vitamine B5 fait partie d’une coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la fabrication des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux) et de l’hémoglobine.

Vitamine B6 (pyridoxine).

La vitamine B6 fait partie des coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leurs permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.

Vitamine B9 (folate).

La vitamine B9 participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.

Vitamine B12 (cobalamine).

La vitamine B12 est essentielle à la croissance, à la division cellulaire, au fonctionnement adéquat de toutes les cellules du corps et à l’équilibre du système nerveux. Elle intervient plus précisément dans la synthèse de l’ADN et de l’ARN, des protéines, de la myéline (substance qui forme une gaine autour de certaines fibres nerveuses), dans la formation des globules rouges, ainsi que dans le métabolisme des glucides et des lipides.

Les Épinards.

Fer

Le fer est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.

Magnésium

Le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Il joue aussi un rôle dans le métabolisme de l’énergie et dans la transmission de l’influx nerveux.

Manganèse

Le manganèse est une enzyme qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Ainsi que la prévention des dommages causés par les radicaux libres.

Vitamine B9 (folate).

La vitamine B9 participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.

Vitamine K

La vitamine K est une vitamine liposoluble (soluble dans le gras). Elle joue un rôle dans la coagulation sanguine (K1). Ainsi que dans la calcification des tissus mous (K2).

Références bibliographiques :

“Le programme FODMAPs” du Docteur Sue Shepherd et du Docteur Peter Gibson.

“Le programme FODMAPs” du Docteur Sue Shephred et du Docteur Peter Gibson.

Bonne dégustation et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.

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