Je vous propose aujourd’hui de réaliser un excellent Jus Endurance. Ce jus est un réel concentré de provitamine A, qui favorise un fonctionnement physique optimal et une énergie constante au cours de la journée. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de notre jus. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ce Jus Endurance. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon, c’est fait maison avec amour et excellent pour notre santé. 😉
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.
MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER CE JUS
Un extracteur de jus ou une centrifugeuse.
OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER ?
La pomme.
L’acheter.
Vous trouverez des pommes dans tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques ou au marché local.
La saison des pommes.
Sa pleine saison s’étale entre septembre et mai (variable selon les variétés). C’est à ce moment qu’elle donne le meilleur d’elle-même, sur un plan gustatif comme nutritionnel.
Des pommes toute l’année. 😉
Toutefois on en trouve toute l’année car après la récolte certaines sont immédiatement placée sous « atmosphère contrôlée ». Imaginez des sortes de gigantesques réfrigérateurs où la teneur en dioxyde de carbone et en humidité est très élevée, alors que celle en oxygène est très faible : 1 à 2 % contre 21 % normalement. Cette atmosphère contrôlée préserve son croquant pendant des mois et ralentit son mûrissement.
Malheureusement, dès qu’elles en sortent pour être soumises à l’air libre, elles s’abîment très vite. Hors saison, achetez-les donc en petites quantités. ☹
Des pommes adaptées à notre usage ?
Pour choisir des pommes à consommer cru et à croquer, c’est simple, toutes seront parfaite, en fonction de nos goûts personnels.
Des plats salés.
Afin de réaliser des plats salés, je vous conseille de choisir des variétés de pommes plutôt acidulées et fermes. Tels que des granny Smiths, des Canadas, ou des Boskoops).
Des plats sucrés.
Pour réaliser des préparations sucrées, je vous conseille plutôt des pommes plus douces et fondantes. Les galas, les Fujis, les goldens, ou les reinettes, seront parfaites.
A la croque.
Pour les consommer à la croque, je vous conseille les Golden qui sont parfaite pour cet usage ou a défaut les fameuses Granny Smiths. Mais aussi pour réaliser des beignets, ou même une compote.
Cuite avec de la viande.
Afin d’accompagner du boudin, de la viande, du poisson, ou de la volaille, je vous conseille de sélectionner la Belle de Boskoop ou à défaut la Reinette. Elle sera également délicieuse pour réaliser un coulis, une compote, une tarte, ou même pour être simplement cuite au four.
Attention aux pesticides !
Sachant qu’elles font partie des fruits les plus traités, il convient donc pour éviter les résidus de pesticides, qui réduiraient fortement son intérêt santé. D’acheter des pommes bio !
De nos jours, la polir vite fait sur un jean crasseux, tout juste achetée sur un marché, pour la croquer à pleine dents, est un concept poétique mais malheureusement plutôt douteux sur le plan de l’hygiène. En effet les pommes font parties des fruits les plus traités. ☹
Les croquer avec la peau.
Si vous souhaitez manger des pommes avec la peau, car c’est en effet dans sa peau que se concentre un très grand nombre des composés magiques de la pomme (ses fibres, ses antioxydants, etc.). Il convient dans ce cas, d’acheter exclusivement des pommes biologiques. Car il ne s’agit pas d’ingurgiter massivement tous les nombreux pesticides utilisés pour traiter les pommes, afin d’améliorer notre santé. Ce serait clairement contre-productif !
Les Cires.
Rincez bien votre pomme, ou nettoyez-la à l‘eau et au savon pour éliminer l’éventuelle fine couche de cire (morpholine) qui pourrait la recouvrir.
L’orange.
L’acheter.
Les oranges résistent bien au transport et au stockage. Vérifiez simplement que l’écorce est brillante et non desséchée. Choisissez-les selon leur destination : à jus comme la salustiana ; ou de table comme la navel.
La majorité des oranges est traitée après récolte pour éviter le développement des moisissures. Achetez des fruits non traités après récolte si vous souhaitez consommer le zeste (les agents conservateurs et les autres substances utilisées dans les traitements post-récolte doivent obligatoirement figurer sur l’étiquetage des agrumes). Ou alors, si vous le pouvez, optez pour des oranges biologiques. 😉
La consommer.
L’orange pressée doit être préparée juste avant d’être bue, car la vitamine C est très rapidement détruite par l’oxygène de l’air.
La conserver.
Les oranges se conservent une semaine au frais ou à température ambiante s’il ne fait pas trop chaud.
La patate douce.
L’acheter.
On trouve des patates douces tout au long de l’année en provenance d’Amérique du Sud ou d’Asie. Le tubercule doit être dur et lourd, avec une peau lisse.
La consommer.
La patate douce se prépare comme une pomme de terre : cuite à la vapeur, à l’eau ou au four, en purée, en gratin ou avec un peu de beurre fondu.
Sa saveur sucrée se marie bien avec les plats épicés, le boudin noir et les viandes blanches. On la cuisine aussi en dessert dans des gâteau ou des tartes. Ainsi que l’on peut l’utiliser pour réaliser de délicieux jus de légumes.
La conserver.
Les patates douces se conservent une semaine au frais et au sec.
Le curcuma.
L’acheter.
On peut trouver du curcuma dans toutes les enseignes, que ce soit au marché local, à l’épicerie, ou dans les hypermarchés. Sa couleur n’est pas un critère de qualité, car elle varie selon les variétés.
On le trouve frais ou en poudre. Personnellement, je l’achète toujours frais, car même si de ce fait, je n’en trouve pas partout, il contient forcément plus de nutriments et plus facilement assimilable par notre organisme. 😉
Si vous préférez acheter du curcuma en poudre, n’oubliez pas de toujours l’accompagner d’un peu de poivre noir afin de permettre à notre organisme de l’assimiler. Car sinon notre organisme ne pourra pas facilement l’assimiler. Si vous ne souhaitez pas ajouter du poivre, acheter du curcuma frais qui est facilement assimilable !
Le consommer.
En raison de sa forte saveur, j’utilise le curcuma en quantité modérée pour qu’il ne masque pas le goût des autres ingrédients. Mais, je l’utilise très fréquemment pour accompagner mes plats ou mes jus.
Il est très utilisé dans les plats asiatiques et permet de colorer et d’assaisonner de nombreux mets. Notamment des soupes, des sauces, des salades, des lentilles, du riz, des œufs, du poisson et des crustacés. Il est l’ingrédient principal des currys, des chutneys et du garam-massala (un mélange d’épices).
L’industrie alimentaire s’en sers souvent pour colorer les moutardes, le beurre, les margarines, les fromages, les marinades, les graisses alimentaires, les confiseries et des produits laitiers.
Le conserver.
Il est conseillé de conserver le curcuma frais dans un récipient hermétique, à l’abri de la chaleur et de la lumière. Un tiroir dans un meuble bas de votre cuisine fera très bien l’affaire. Vous pouvez également le conserver au réfrigérateur dans le compartiment à légumes.
En ce qui concerne le curcuma en poudre, il faut le conserver au sec à température ambiante dans un bocal hermétique.
La cardamome.
L’acheter.
La cardamome se vend en gousse, écossée ou moulue. Il est préférable de l’acheter en gousse et de la moudre au besoin, elle conserve ainsi sa saveur plus longtemps. Cela permet aussi un usage plus étendu, car la cardamome peut être utilisée entière. De plus, on peut également éviter les falsifications. En effet, il arrive que certaines personnes ajoutent à la cardamome moulue d’autres épices bien moins coûteuses pour augmenter leurs profits.
La consommer.
On utilise essentiellement la cardamome pour parfumer des gâteaux, des biscuits, des compotes de fruits, des marinades, des charcuteries, des vins et des liqueurs. Cependant en Orient, elle est également souvent utilisée pour aromatiser de la viande, des currys indiens, des poissons, du riz, des œufs, des desserts, du thé et du café. Elle peut remplacer le gingembre ou la cannelle dans la plupart des recettes.
La conserver.
La cardamome en poudre perd malheureusement rapidement sa saveur. C’est pour cela qu’il convient de la consommer dans les 3 ou 4 mois suivant son achat.
En gousse, on pourra facilement la conserver dans un récipient hermétique, à l’abris de la lumière durant une bonne année. 😉
Le poivre.
L’acheter.
Le poivre est commercialisé en grains, concassé ou moulu. Le poivre vert est vendu saumuré, vinaigré ou séché. Pour s’assurer le maximum de saveur, il est préférable d’acheter le poivre en grains et de le moudre au fur et à mesure des besoins. Choisir des grains lourds, compacts, peu friables et d’une coloration uniforme. Le poivre moulu peut contenir des impuretés, être moisi ou mélangé avec un aromate moins coûteux. L’acheter de préférence dans un magasin à fort débit pour obtenir un maximum de saveur et choisir une marque digne de confiance.
Le consommer.
Le poivre est une des épices les plus employées dans le monde. On l’ajoute à presque tous les aliments : sauces, légumes, viandes, charcuteries, vinaigrettes et même certains desserts. Le poivre blanc assaisonne souvent les aliments dans lesquels il peut passer « inaperçu » car sans couleur, tels les sauces blanches, la volaille et le poisson. Les grains entiers aromatisent les marinades, les pâtés, la charcuterie, les fromages et les mets qui cuisent longtemps, tels les soupes et les ragoûts. Ajouter le poivre moulu à la toute fin de la cuisson pour éviter qu’il ne devienne amer. LA saveur du poivre s’accentue lorsque les aliments sont congelés.
Le conserver.
Le poivre entier se conserve indéfiniment à la température de la pièce. La durée de conservation idéale du poivre moulu est de trois mois.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.
JE RÉALISE MON JUS ENDURANCE
Pour deux 2 personnes.
Mon temps de préparation est de 5 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MON JUS ENDURANCE
Je prends deux pommes.
Ainsi que deux oranges.
Une patate douce.
Et un morceau de curcuma frais de trois centimètres.
Ainsi que deux capsules de cardamome.
Deux tours de moulin à poivre si vous prenez du curcuma en poudre afin de favoriser son assimilation.
POUR PRÉPARER MON JUS ENDURANCE, Je
pèle ma patate douce et mon curcuma.
J’ôte la peau des oranges et je coupe le tout en morceaux.
Puis, je coupe mes pommes en quartiers et j’enlève les pépins.
Je fends mes capsules de cardamome et je récupère les graines que j’écrase à l’aide d’un mortier ou du dos d’un couteau.
Ensuite, je passe mes ingrédients (sauf les épices) un par dans mon extracteur ou ma centrifugeuse.
Que je laisse allumer durant une à deux minutes à la fin de mon extraction afin de récupérer le maximum de jus. 😉
J’ajoute la cardamome que j’ai réduit en poudre.
Ainsi que le poivre, si j’ai utilisé du curcuma en poudre.
Puis je mélange mon jus et je sers bien frais.
Je déguste mon jus dans la journée ou le conserve au réfrigérateur dans un récipient fermé.
LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.
La pomme.
Fibres.
Ses fibres et plus particulièrement ses pectines, sont faciles à digérer et ont une action anticholestérol et anti-fringales.
Potassium.
Elles ne contiennent pas énormément de potassium, mais le rapport entre le potassium et le sodium qu’elles contiennent est excellent.
Vitamine C.
La pomme n’en a pas énormément, mais elle offre un apport en vitamine C qui nous permet de couvrir nos besoins, si on la consomme cru.
Quercétine.
La pomme est très riche en antioxydants. Surtout certaines variétés, comme la Red Delicious ou la Granny-smith. Ainsi, elle contient de la quercétine qui a une action anti-inflammatoire, anti-allergie, anticancer et antivirale.
Eau.
Une haute teneur qui la rend particulièrement croquante, texture idéale pour couper la faim et en cas de régime
L’orange.
La vitamine C ou acide ascorbique.
Sa réputation de fruit riche en vitamine C est justifiée. Sachant que la vitamine C participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os.
Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fercontenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
Les flavonoïdes (Hespéridine).
En duo avec la vitamine C, sesflavonoïdes renforcent les vaisseaux sanguins, neutralisent les radicaux libres responsables des maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux… Ils sont reconnus pour leurs capacités antioxydantes et anti-inflammatoires.
Le calcium.
Un bon score compte tenu de l’apport calorique faible. Sachant que le calcium est le sel minéral qui est le plus abondant dans l’organisme. Il représente 2 % de notre poids corporel et près de 99 % est concentré dans nos os et nos dents. Ce qui reste joue tout de même un rôle primordial dans le bon fonctionnement de toutes les cellules de notre organisme, dont les cellules musculaires (notamment celles de notre cœur) et les cellules nerveuses. En outre, le calcium participe également aux fonctions rénales, au mécanisme de la coagulation sanguine ainsi qu’à plusieurs processus enzymatiques.
Les fibres.
Ses fibres favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.
Le potassium.
Le potassium est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion.
Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Le magnésium.
Avec le potassium et le calcium, il hisse l’orange au rang convoité des aliments reminéralisants. De plus le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
La patate douce.
Fibres.
La patate douce est riche en fibres qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.
Vitamine A ou bêta-carotène.
Elle est une excellente source en vitamine A qui a un rôle important dans la vision, notamment au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité. Elle participe aussi à la croissance des os, à la reproduction et à la régulation du système immunitaire. Ainsi qu’elle contribue à la santé de la peau et des muqueuses (yeux, voies respiratoires et urinaires, intestins), qui constituent notre première ligne de défense contre les bactéries et les virus.
En outre, elle est essentielle à la différenciation et la croissance cellulaire, car elle participe à la transcription de certains gènes et à la synthèse de certaines protéines. Enfin, elle favorise également l’absorption du fer et semble jouer un rôle dans la régulation des réponses inflammatoires.
Vitamine B6 ou pyridoxine
La patate douce est une bonne source en vitamine B6 qui fait partie des coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leurs permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.
Vitamine B9 ou folate.
Elle est également une bonne source en vitamine B9, acide folique ou également folate qui participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
Vitamine C ou acide ascorbique.
La patate douce est une bonne source en vitamine C qui participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
Cuivre.
Elle est riche en cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Manganèse.
La patate douce est riche en manganèse est une enzymes qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Il permet notamment de limiter les problèmes liés à certaines allergies. Mais également de prévenir les dommages causés par les radicaux libres.
Flavonoïdes (Anthocyanines).
Elle contient des flavonoïdes qui neutralisent les radicaux libres responsables des maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux… Ils sont reconnus pour leurs capacités antioxydantes et anti-inflammatoires.
Le curcuma.
Des flavonoïdes (curcumine).
Le curcuma est riche en flavonoïdesantioxydantsdont principalement de la curcumine, qui expliquent la plupart de ses bienfaits. Il occupe d’ailleurs la sixième place des aliments les plus antioxydants.
Ce qui en fait un aliment très particulier car ses substances sont indispensables pour lutter contre les radicaux libres. De plus ils nous protègent d’un vieillissement prématuré, sans oublier qu’ils sont le garant d’une meilleure santé. De plus, ils sont un véritable bouclier anti-maladies (cancer, maladies cardio-vasculaires, etc.).
Des fibres.
Il est une excellente source de fibres qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.
On le consomme certes à petites doses mais cela permet de compléter facilement ses besoins quotidiens. Une cuillerée de cinq grammes apporte un peu plus d’un gramme de fibres.
Des vitamine E.
Le curcuma fait partie des aliments les plus riches en vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Du potassium.
Il contient énormément depotassium qui est un diurétique qui conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme).
En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du magnésium.
Ainsi que de grandes quantités de magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du fer.
Le curcuma contient beaucoup de fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du cuivre.
Mais aussi beaucoup de cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Du manganèse.
Il contient également une grande quantité de manganèse est une enzymes qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Il permet notamment de limiter les problèmes liés à certaines allergies. Mais également de prévenir les dommages causés par les radicaux libres.
Du zinc.
Le curcuma contient du zincqui participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau.
Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Du phosphore.
Il contient également du phosphore qui joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
La cardamome.
Du potassium.
La cardamome contient du potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion.
Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du calcium.
Elle contient également du calcium qui est le sel minéral qui est le plus abondant dans l’organisme. Il représente 2 % de notre poids corporel et près de 99 % est concentré dans nos os et nos dents. Ce qui reste joue tout de même un rôle primordial dans le bon fonctionnement de toutes les cellules de notre organisme, dont les cellules musculaires (notamment celles de notre cœur) et les cellules nerveuses. En outre, le calcium participe également aux fonctions rénales, au mécanisme de la coagulation sanguine ainsi qu’à plusieurs processus enzymatiques.
Du fer.
Mais la cardamome contient aussi du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du zinc.
Enfin, elle contient du zinc qui participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau.
Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Le poivre.
Potassium.
Le poivre contient du potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion.
Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Calcium.
Il contient du calcium qui est le sel minéral le plus abondant dans l’organisme. Il représente 2 % de notre poids corporel et près de 99 % est concentré dans nos os et nos dents. Ce qui reste joue tout de même un rôle primordial dans le bon fonctionnement de toutes les cellules de notre organisme, dont les cellules musculaires (notamment celles de notre cœur) et les cellules nerveuses. En outre, le calcium participe également aux fonctions rénales, au mécanisme de la coagulation sanguine ainsi qu’à plusieurs processus enzymatiques.
Phosphore.
Le poivre contient du phosphore qui joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger.
Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
Magnésium.
Son magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Fer.
Il contient également du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :
Super facile – Recettes à l’extracteur de jus.
Guide de la santé dans votre assiette.
Dictionnaire des aliments.
Ma bible de la santé au naturel.
Ma bible des aliments qui soignent.
Bonne dégustation et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
Mes produits Amazon.
Pour vous permettre de trouver rapidement et au meilleur prix les ouvrages dont je m’inspire lors de la rédaction de mes articles et les objets ou produits que j’utilise régulièrement. Je me suis affilié avec AMAZON et je vous propose ci-dessous des liens vers ce site de commerce en ligne. Pour plus de détails sur mon affiliation, cliquez sur ce lien.
Recevez gratuitement votre livret
« Découvrez le mode alimentaire pauvre en FODMAP »
pour manger une grande diversité d’aliments sans craindre de réactions de vos intestins. Puis vous recevrez régulièrement de nombreux conseils et astuces pour mieux vivre avec votre maladie de Crohn.