Recettes de jus – Jus de légumes et de fruits – Jus réparateur









Je passe tous les ingrédients un par un dans mon extracteur.Enfin, je le laisse en fonction une à deux minutes supplémentaires pour récupérer le maximum de mon jus.
Je mélange et filtre si nécessaire mon jus à l’aide d’un tamis.
Puis, je sers froid et me régale. MMIIAAMMM


















Bonne dégustation de notre jus réparateur et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,Thierry KlethiLa santé en mangeant
JUS RÉPARATEUR.
Bonjour à toutes et tous,Je vous propose aujourd’hui de réaliser un excellent « jus réparateur ». Ce jus santé classique se déguste avec plaisir à tout moment de la journée. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de notre jus. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ce jus réparateur. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon, c’est fait maison avec amour et excellent pour notre santé. 😉MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER CE JUS
Un extracteur de jus ou une centrifugeuse.OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

La pomme.

L’acheter.
Vous trouverez des pommes dans tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques ou au marché local.La saison des pommes.
Sa pleine saison s’étale entre septembre et mai (variable selon les variétés). C’est à ce moment qu’elle donne le meilleur d’elle-même, sur un plan gustatif comme nutritionnel.Des pommes toute l’année. 😉
Toutefois on en trouve toute l’année car après la récolte certaines sont immédiatement placée sous « atmosphère contrôlée ». Imaginez des sortes de gigantesques réfrigérateurs où la teneur en dioxyde de carbone et en humidité est très élevée, alors que celle en oxygène est très faible : 1 à 2 % contre 21 % normalement. Cette atmosphère contrôlée préserve son croquant pendant des mois et ralentit son mûrissement.
La consommer.
Des pommes adaptées à notre usage ?
Pour choisir des pommes à consommer cru et à croquer, c’est simple, toutes seront parfaite, en fonction de nos goûts personnels.Des plats salés.
Afin de réaliser des plats salés, je vous conseille de choisir des variétés de pommes plutôt acidulées et fermes. Tels que des granny Smiths, des Canadas, ou des Boskoops).Des plats sucrés.
Pour réaliser des préparations sucrées, je vous conseille plutôt des pommes plus douces et fondantes. Les galas, les Fujis, les goldens, ou les reinettes, seront parfaites.A la croque.
Pour les consommer à la croque, je vous conseille les Golden qui sont parfaite pour cet usage ou a défaut les fameuses Granny Smiths. Mais aussi pour réaliser des beignets, ou même une compote.Cuite avec de la viande.
Afin d’accompagner du boudin, de la viande, du poisson, ou de la volaille, je vous conseille de sélectionner la Belle de Boskoop ou à défaut la Reinette. Elle sera également délicieuse pour réaliser un coulis, une compote, une tarte, ou même pour être simplement cuite au four.
Attention aux pesticides !
Sachant qu’elles font partie des fruits les plus traités, il convient donc pour éviter les résidus de pesticides, qui réduiraient fortement son intérêt santé. D’acheter des pommes bio !De nos jours, la polir vite fait sur un jean crasseux, tout juste achetée sur un marché, pour la croquer à pleine dents, est un concept poétique mais malheureusement plutôt douteux sur le plan de l’hygiène. En effet les pommes font parties des fruits les plus traités. ☹Les croquer avec la peau.
Si vous souhaitez manger des pommes avec la peau, car c’est en effet dans sa peau que se concentre un très grand nombre des composés magiques de la pomme (ses fibres, ses antioxydants, etc.). Il convient dans ce cas, d’acheter exclusivement des pommes biologiques. Car il ne s’agit pas d’ingurgiter massivement tous les nombreux pesticides utilisés pour traiter les pommes, afin d’améliorer notre santé. Ce serait clairement contre-productif !Les Cires.
Rincez bien votre pomme, ou nettoyez-la à l‘eau et au savon pour éliminer l’éventuelle fine couche de cire (morpholine) qui pourrait la recouvrir.
La conserver.
Durant la saison de cueillette.Les pommes de saison se conservent facilement quelques jours à température ambiante. On peut même les conserver plusieurs semaines en le déposant dans le bac à légumes.Hors saison.Les pommes vendues hors-saison sont placées sous « atmosphère contrôlée ».Malheureusement, de ce fait dès qu’elles en sortent pour être soumises à l’air libre, elles s’abîment très vite. Alors, hors saison, il convient de les acheter en petites quantités. ☹
La carotte.

L’acheter.
La carotte doit être d’une belle couleur orange vif, ferme, sans taches ni meurtrissures. Une autre astuce est de l’acheter avec ses fanes (feuilles), qui serviront à définir précisément sa fraicheur. On la trouve toute l’annéeToute l’année.
On trouve toute l’année la carotte dite de garde, qui est récoltée en automne et dès le début du printemps.La carotte de saison.
En premier, la primeur qui est récoltée de mai à juillet.Puis vient la carotte de pleine saison qui est récoltée de juillet à octobre.Enfin la fameuse carotte de garde, qui elle est récoltée en automne et en hivers.Les stars.
La carotte des sables et de Créance, provenant de la Manche, bénéficient d’un Label rouge : elles sont lisses et très savoureuses. 😉Les magasins.
On trouve des carottes fraîches dans tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques ou au marché local.
La consommer.
On peut l’éplucher ou simplement la laver et la gratter au couteau. Pour la consommer crue, il est préférable de la râper très finement, afin de faciliter son assimilation. On peut aussi la couper en bâtonnets pour préparer un apéritif ou un encas léger. Mais, il est préférable de le faire juste avant son utilisation et de l’arroser de jus de citron pour limiter son oxydation. 😉
La conserver.
La carotte se garde entre 8 et 10 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Mais si on veut la mettre dans un sachet, il est préférable de l’envelopper dans du papier absorbant pour éviter de la faire patauger dans l’eau et qu’elle pourrisse rapidement.
Le gingembre.

L’acheter.
Les rhizomes de gingembre frais (à préférer à la poudre, qui a perdu une partie des composés protecteurs) ressemblent à des racines biscornues. On les trouve aujourd’hui dans la plupart des rayons de fruits et légumes. La peau doit être bien lisse, assez claire et la racine doit dégager un parfum bien marqué. Achetez-le en petite quantité pour qu’il soit bien parfumé. Pour la même raison, optez pour les petits conditionnements de gingembre en poudre.Le gingembre confit s’achète surtout dans les épiceries asiatiques.
Le consommer.
Pour profiter de ses bienfaits, prenez l’habitude d’en ajouter à vos plats de viande, de poisson, ou de légumes, ainsi qu’aux vinaigrettes ou aux soupes, comme vous le faites pour l’ail ou les herbes aromatiques. Une petite quantité suffit à parfumer un plat : comptez un centimètre de racine râpée ou hachée ou une pincée de poudre pour quatre personnes. Ne surdosez pas, car cet aromate piquant peut être irritant.
Le conserver.
Gardez le gingembre au frais et au sec, si nécessaire au réfrigérateur et consommez-le dans les huit jours qui suivent l’achat. Vous pouvez aussi le congeler tel quel, épluché et coupé en lamelles ou râpé. Le gingembre en poudre se conserve plusieurs mois à condition de se trouver dans un récipient hermétique. Il risque néanmoins de perdre peu à peu sa saveur.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.
JE RÉALISE MON JUS RÉPARATEUR.

Pour deux personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Il se conserve 48h si on utilise un extracteur et 24h avec une centrifugeuse.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MON JUS RÉPARATEUR.
Je prends une pomme et demie.Ainsi quatre carottes.Et un morceau de gingembre de 2 centimètres.
POUR PRÉPARER MON JUS RÉPARATEUR.
Je coupe mes pommes en quartiers et retire les pépins.Puis, je pèle les carottes.


LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.

La pomme.

Fibres.
Ses fibres et plus particulièrement ses pectines, sont faciles à digérer et ont une action anticholestérol et anti-fringales.Potassium.
Elles ne contiennent pas énormément de potassium, mais le rapport entre le potassium et le sodium qu’elles contiennent est excellent.
Vitamine C.
La pomme n’en a pas énormément, mais elle offre un apport en vitamine C qui nous permet de couvrir nos besoins, si on la consomme cru.
Quercétine.
La pomme est très riche en antioxydants. Surtout certaines variétés, comme la Red Delicious ou la Granny-smith. Ainsi, elle contient de la quercétine qui a une action anti-inflammatoire, anti-allergie, anticancer et antivirale.Eau.
Une haute teneur qui la rend particulièrement croquante, texture idéale pour couper la faim et en cas de régime
La carotte.

Des carotènes.
La carotte contient des composés antioxydants et des caroténoïdes, qui participent à la prévention des maladies cardiovasculaires et de certains cancers. Plus elle est grosse et plus elle en contient. Alors que les carottes nouvelles en apportent moins.Mais elle nous apporte également de la lutéine et de la zéaxanthine, qui sont des substances antioxydantes, sans doute responsables des résultats de plusieurs grandes études récemment conduites pour mieux connaître les effets réels de la carotte sur notre santé.
De la vitamine B9 ou de l’acide folique.
La vitamine B9, acide folique ou également folate participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
Du magnésium.
La carotte en contient un taux moyen, mais sachant que le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales. De ce fait, même un apport moyen est toujours bon à prendre. 😉
Du potassium.
Elle en contient un taux intéressant, surtout si on ne la noie pas sous une sauce trop salée. Sachant que le potassium est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Des vitamines A ou bêta-carotène.
La carotte renferme une proportion importante de bêta-carotène, une substance qui se transforme en vitamine A dans l’organisme et qui est nécessaire à l’acuité visuelle, surtout la nuit…
Vitamine E.
Elle est une bonne source de vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.Des études ont montré, par exemple, que la consommation de carottes augmenterait le taux de vitamine E dans le sang, ferait baisser les triglycérides et le cholestérol. En revanche, on n’obtient pas les mêmes résultats avec le jus de carotte. Les chercheurs pensent que l’association des fibres (bien moins nombreuses dans le jus que dans les carottes entières) et des caroténoïdes peut expliquer ces différences de résultats.
Le gingembre.

Des fibres.
Les fibres favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.
De la vitamine B2 ou riboflavine.
La vitamine B2 participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte.
De la vitamine B3 ou niacine.
La vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides et des protéines que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.
De la vitamine B6 ou pyridoxine.
La vitamine B6 fait partie des coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leurs permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.
Du fer.
Le fer est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du magnésium.
Le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du manganèse.
Le manganèse est une enzymes qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Il permet notamment de limiter les problèmes liés à certaines allergies. Mais également de prévenir les dommages causés par les radicaux libres.
Du potassium.
Le potassium est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du zinc.
Le zinc participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau.Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :




