Fiches cuisines – Toutes les recettes – Dessert – Madeleines à la pulpe de soja
Bonne dégustation de nos madeleines à la pulpe de soja et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
MADELEINES A LA PULPE DE SOJA
Bonjour à toutes et tous, Je vous propose aujourd’hui de réaliser une d’excellentes madeleines à la pulpe de soja. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de la réalisation de notre recette. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ces madeleines à la pulpe de soja. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Un four. Un moule à madeleines ou du papier cuisson.OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

Lait végétal de Soja
On peut le réaliser soit même et c’est tellement meilleur fait maison, même si cela nous prend un peu de temps. Vous trouverez la recette de ce lait en cliquant sur ce lien. On peut aussi le trouver facilement dans la plupart des magasins biologiques ou dans les supermarchés. Et même chez AMAZON !
La farine d’épeautre.
Vous trouverez de la farine d’épeautre dans tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques.
Les carottes.
Vous trouverez des carottes fraîches dans tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques ou au marché local.Sa saison.
Vous trouverez des carottes toute l’année. La primeur est récoltée de mai à juillet. Puis viennent les carottes de pleine saison qui sont récoltées de juillet à octobre. Enfin les carottes de garde, qui elles sont récoltées en automne et en hivers.Sa fraîcheur.
On reconnait sa fraîcheur à sa couleur et sa brillance. Une autre astuce est de les acheter avec ses fanes (feuilles), qui serviront à définir précisément sa fraicheur.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.JE RÉALISE MES MADELEINES A LA PULPE DE SOJA.

Pour quatre personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Je laisse cuire au four pendant 30 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MES MADELEINES A LA PULPE DE SOJA.

Ingrédients secs
Je prends une tasse et demie de farine d’épeautre soit une cup ou trois cent soixante-quinze millilitres (sans gluten en cas d’intolérance). Ainsi que trois quarts d’une cuillère à café d’agar agar (facultatif). Un quart de tasse de farine de maïs soit un quart de cup ou soixante millilitres. Puis, une cuillère à soupe de levure. Et une cuillère à café de cannelle. Avec une demie cuillère à café de gingembre moulu ou râpé finement. Ainsi qu’un quart de cuillère à café de noix de muscade en poudre. Accompagnée d’un quart de tasse de pur sucre de coco soit un quart de cup ou soixante millilitres. Et une demie tasse de noix hachées soit un demi cup ou cent vingt-cinq millilitres.Ingrédients humides
Je prends, une tasse de lait de soja maison. Ainsi qu’une tasse de pulpe de soja (okara). Avec un tiers de tasse d’huile de coco. Une cuillère à soupe d’extrait de vanille. Et une tasse et demie de carottes râpées.POUR PRÉPARER MES MADELEINES A LA PULPE DE SOJA, Je
préchauffe mon four à 175 °C. Ensuite, je mélange séparément les ingrédients humides et les ingrédients secs. Puis, j’ajoute les ingrédients humides aux ingrédients secs et je mélange délicatement l’ensemble. Je prends une plaque avec 12 moules à madeleine que j’enduis d’huile ou alors je saupoudre du papier cuisson avec de la farine. Puis, j’y verse le mélange jusqu’à ce qu’il atteigne presque le bord ou je dépose la pâte à madeleines sur le papier cuisson. J’enfourne durant 30 minutes jusqu’à ce que les madeleines soient légèrement dorées. Afin de savoir si elles sont cuites, je plante un cure-dent dans la pâte et s’il ressort propre, cela veut dire qu’elles sont prêtes ! Enfin, je laisse refroidir les madeleines avant de les démouler ou de les détacher du papier cuisson. L’idéal, si vous êtes patients étant de les laisser reposer toute une nuit, car elles seront encore meilleures et incroyablement moelleuses. 😉
LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.

Le lait de soja.

Des protéines.
En effet, ces protéines contiennent environ la même quantité que le lait de vache et des quantités similaires de vitamines et minéraux.
Des lipides.
Étant donné que le lait de soja est fabriquées à partir d’ingrédients végétaux (fèves de soya) contrairement au lait qui provient de vaches laitières. Ces lipides et acides gras ne contiennent aucun gras trans et cholestérol et moins de sucre (6 à 7 grammes par tasse).
Farine d’épeautre.

Les fibres.
L’épeautre est une source de fibres alimentaires, principalement insolubles. Les fibres ont différents rôles à jouer au niveau physiologique y compris la régularisation de la fonction gastro-intestinale, la diminution des taux de cholestérol ainsi que la gestion de la glycémie (taux de sucre dans le sang). Elles contribuent également au sentiment de satiété ce qui peut aider à la gestion du poids en diminuant l’apport énergétique. Il y a également de nombreuses études, mais pas toutes, qui affirment qu’un apport en fibres adéquat protégerait contre le cancer du côlon.
Le fer.
Ce grain entier est également plus riche en fer que la plupart des autres céréales. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Le fer présent dans l’épeautre étant d’origine végétal, il est moins bien absorbé par notre organisme que celui qui vient des sources animales. De ce fait, je vous de consommer simultanément un aliment riche en vitamine C qui permettra d’optimiser son absorption. 😉
Les protéines.
L’épeautre contient aussi plus de protéines que les autres céréales ce qui en fait un bon choix d’aliment pour apporter la sensation de satiété.
Le manganèse.
L’épeautre contient du manganèse qui agit comme un cofacteur de plusieurs enzymes, facilitant ainsi une douzaine de processus métaboliques différents. Il protège également l’organisme des dommages causés par les radicaux libres. Il n’existe pas d’apport nutritionnel recommandé pour le manganèse, mais des apports suffisants qui sont de 1,8 mg à 2,3 mg chez les adultes. Alors qu’une portion d’épeautre en contient 1,1 mg.
Le phosphore.
Cette céréale est aussi riche en phosphore, le deuxième minéral le plus abondant dans le corps humain. Il est une composante importante des os et des dents. Le phosphore joue également un rôle au niveau du pH sanguin (niveau d’acidité) en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins. Il sert à emmagasiner et à produire l’énergie que l’organisme a besoin. Le phosphore est aussi présent dans les molécules d’ADN et d’ARN et est donc nécessaire à la croissance.
Le magnésium.
L’épeautre fournit également du magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Le potassium.
Son potassium est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Le zinc.
Le zinc participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau. Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
La vitamine B1 ou thiamine.
Elle contient de la vitamine B1 qui participe à de nombreuses réactions métaboliques des glucides, de production d’énergie et du bon fonctionnement de notre système nerveux.
La vitamine B3 ou niacine.
L’épeautre contient également de la niacine ou vitamine B3 qui participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l’alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.
Les carottes.

Du bêta-carotène.
La carotte renferme une proportion importante de bêta-carotène, une substance qui se transforme en vitamine A dans l’organisme et qui est nécessaire à l’acuité visuelle, surtout la nuit…
Des caroténoïdes.
Ce légume contient des composés antioxydants, des caroténoïdes, qui participeraient à la prévention des maladies cardiovasculaires et de certains cancers. Mais aussi de la lutéine et de la zéaxanthine, qui sont des substances antioxydantes, sans doute responsables des résultats de plusieurs grandes études récemment conduites pour mieux connaître les effets réels de la carotte sur la santé.
Des vitamines E.
Des études ont montré, par exemple, que la consommation de carottes augmenterait le taux de vitamine E dans le sang, ferait baisser les triglycérides et le cholestérol. En revanche, on n’obtient pas les mêmes résultats avec le jus de carotte. Les chercheurs pensent que l’association des fibres (bien moins nombreuses dans le jus que dans les carottes entières) et des caroténoïdes peut expliquer ces différences de résultats.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :



