Fiches cuisines – Toutes les recettes – Entrées – Poireaux aux noisettes
Puis, je les fais cuire à la vapeur douce durant 7 minutes.
Lorsqu’elles sont prêtes (le couteau s’enfonce), je les sors et les égouttes si besoin.
Je les assaisonne avec un peu d’huile, de sel et de poivre.
Puis, je les saupoudre avec la poudre de noisettes.
Des acides gras (monoinsaturés).
Elle contient majoritairement des acides gras insaturés (AGI) qui font partie de la famille des acides gras, à la base de la formation des lipides. Ils comportent une ou plusieurs doubles liaisons carboniques. On peut distinguer ainsi respectivement les acides gras monoinsaturés et les acides gras poly-insaturés. Ils ont de nombreuses fonctions importantes dans l’organisme et jouent notamment un rôle dans la synthèse hormonale et combattent l’hypertension artérielle. De plus, ils ont des effets « anticholestérol », qui protègent notre cœur. Les principales sources alimentaires de ces acides gras sont les huiles végétales, la viande, les poissons gras et les œufs.
Des lipides (insaturés et essentiels).
Elle est très riche en lipides qui sont essentiellement constitués d’acides gras insaturés (AGI) qui font partie de la famille des acides gras, à la base de la formation des lipides. Ils comportent une ou plusieurs doubles liaisons carboniques. On peut distinguer ainsi respectivement les acides gras monoinsaturés et les acides gras poly-insaturés. Ils ont de nombreuses fonctions importantes dans l’organisme et jouent notamment un rôle dans la synthèse hormonale et combattent l’hypertension artérielle. De plus, ils ont des effets « anticholestérol », qui protègent notre cœur. Les principales sources alimentaires de ces acides gras sont les huiles végétales, la viande, les poissons gras et les œufs.
Mais également, des acides gras essentiels (AGE) qui forment une catégorie d’acides gras particulière comprenant les molécules qui forment les lipides. Plus précisément, ils font partie des acides gras poly-insaturés. Ils se déclinent en deux grandes familles : les acides gras de type oméga-3 et les oméga-6. Ces acides gras essentiels ne peuvent pas être synthétisés directement par l’organisme. Pourtant, ils ont des rôles importants car ils luttent contre les troubles cardiovasculaires et l’hypertension. La seule solution est donc d’absorber ces acides gras par l’alimentation en consommant des poissons gras, des huiles végétales, ou des compléments alimentaires.
Bonne dégustation de nos poireaux aux noisettes et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
POIREAUX AUX NOISETTES.
Bonjour à toutes et tous, Je vous propose aujourd’hui de réaliser une excellente de poireaux aux noisettes. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ces poireaux aux noisettes. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.
MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Un cuit vapeur douce.
OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

Le poireau.

L’acheter.
Je choisis des poireaux de couleur franche, vert et blanc nacré, mais jamais jaunâtre. Ses feuilles doivent être dures et cassantes et surtout elles ne doivent pas être molles. Son parfum doit être typique, mais sans être trop fort. On trouve des poireaux toute l’année, mais la plus forte production a lieu de novembre à février. On le trouve dans presque tous les commerces, que ce soit en grande distribution, dans les magasins biologiques ou au marché local. Mais comme je le dis toujours et le répète. Il sera sans nul doutes bien meilleur si on l’achète dans notre petit marché local ou directement à la ferme chez le producteur. 😊
Le consommer.
Le poireau se consomme cuit, de préférence à la vapeur douce pour préserver le maximum de ses micronutriments. Si on le prépare en bouillon ou en potage, il va perdre une bonne partie de ses vitamines. Mais heureusement, ses minéraux, vont migrer dans le liquide de cuisson et seront absorbés. Nous pouvons également le manger tiède en entier avec une petite vinaigrette. Personnellement, j’évite de jeter le vert, car je peux facilement l’utiliser dans un potage. Le couper en tronçons pour l’ajouter dans une tarte salée. Ou même l’utiliser en accompagnement d’un plat de poissons. 😉
Le conserver.
Je vous conseille de ne pas le conserver plus d’une semaine, car il est sujet à la déshydrations et au pourrissement. De plus, lorsqu’on le consomme trop tard, les substances soufrées qu’il contient prennent une saveur désagréable. ☹
L’huile d’olive.

L’acheter.
L’huile d’olive est surtout composée de graisses monoinsaturées (acide oléique), ne comprend pas beaucoup d’oméga 3, mais elle est pauvre en oméga 6 (ce qui est un atout) et riche en polyphénols antioxydants. Elle est à privilégier au quotidien, mais rien n’empêche de varier de temps à autre avec une huile moins courante, souvent très parfumée : noisette, macadamia, pistache, sésame, avocat, citrouille, etc. Par ailleurs certains mélanges d’huiles présentent de bons profils lipidiques, avec un ratio satisfaisant entre oméga 6 et oméga 3, mais leur importance respective n’est pas forcément indiquée sur l’étiquette.
La consommer.
Prenez l’habitude de cuisiner à l’huile plutôt qu’au beurre. Evitez de surchauffer l’huile, qui ne doit pas fumer et jetez l’excédent de gras cuit. Limitez les fritures (frites, beignets, etc.).
La conserver.
Vérifiez la DDM (date de durabilité minimale, « à consommer de préférence avant … »), qui doit se situer au moins 6 mois après l’achat. Soyez attentif surtout lorsqu’il s’agit vierges peu courantes, dont les stocks ne tournent pas toujours assez vite dans les magasins. Rangez les bouteilles dans un endroit sec, frais et obscur pour éviter l’oxydation. Pour la même raison, choisissez des conditionnements qui ne laissent pas passer la lumière. Rebouchez bien la bouteille à chaque emploi. Certaines huiles (noix, noisette, par exemple) se conservent plutôt au réfrigérateur après ouverture car elles rancissent facilement : elles peuvent alors se figer un peu, ce qui n’altère en rien leurs qualités. Pour des huiles que vous ne consommez pas chaque jour, achetez des petits conditionnements de 20 à 30 centilitres.
Les noisettes.

L’acheter.
Les noisettes vendus dans leur coque conservent mieux leur saveur et leurs qualités nutritionnelles que ceux qui sont déjà décortiqués. Dans ce dernier cas, achetez des petits conditionnements (sachets de 75 à 150 grammes).
La consommer.
Les noisettes sont intéressantes pour notre santé à condition d’être consommés régulièrement et en quantité modérée. Vous pouvez en ajouter dans les céréales du petit déjeuner, les salades ou les plats mijotés. Pour l’apéritif, préférez des graines non salées et associez-les à des crudités plutôt que des biscuits.Les sachets pour l’apéritif.
Ces noisettes sont vendues grillées et salées, seul ou en mélange, parfois associées à des fruits séchés (raisins secs, par exemple). La différence avec les graines brutes réside surtout dans la teneur en sel. A l’état brut, les noisettes ne contiennent quasiment pas de sodium, mais la teneur en sel atteint 0,7 à 1,7 grammes pour 100 grammes dans les produits apéritifs. Il est donc préférable de les acheter avec la mention « non salé ».
La conserver.
Les noisettes fraiches que nous consommons sont pratiquement toujours séchés (déshydratés) après la récolte. Mais, à l’automne, on trouve sur les marchés des noisettes fraîches : elles viennent d’être récoltées et contiennent davantage d’eau. Leur profil nutritionnel est similaire à celui des fruits séchés, avec un apport calorique très légèrement inférieur. Leur saveur en revanche est différente, particulièrement délicate et fruitée. La durée de conservation de ces fruits frais est courte : quelques jours dans la corbeille de fruits ou le bas du réfrigérateur.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.JE RÉALISE MES POIREAUX AUX NOISETTES.

Pour deux personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Je laisse mijoter pendant au moins 10 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MES POIREAUX AUX NOISETTES.
Je prends deux blancs de poireaux. Ainsi qu’un filet d’huile d’olive. De la poudre de noisette (ou des noisettes entières). Et du poivre.
POUR PRÉPARER MES POIREAUX AUX NOISETTES, Je
rince mes poireaux et les coupe en rondelles pas trop fines pour qu’elles se « tiennent ».



Ma touche personnelle.
Si vous avez des noisettes entières, écrasez-les grossièrement, ce sera encore meilleur. Pour cela, enfermez-les dans un torchon propre, posez-le sur votre planche à découper et tapez dessus à l’aide d’un marteau ou, à défaut, d’une bouteille en verre, d’un fond de casserole.LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.

Le poireau.

Carotènes.
Le poireau est une bonne source de carotènes, surtout si la partie verte du poireau est très foncé. Ces carotènes et les bêta-carotènes, sont des précurseurs essentiels de la vitamine A, dont les effets bénéfiques semblent reconnus depuis fort longtemps. Ils agiraient en tant qu’antioxydants contre les radicaux libres. De plus, ils interviendraient également dans la régulation des défenses naturelles de l’organisme.
Fibres.
Les fibres de nos poireaux, sont les pectines douces dans la partie blanche et la cellulose qui est plus difficile à digérer dans la partie verte. Ces fibres vont stimuler et régulariser notre transit intestinal.
Soufre et composés soufrés.
Les composés soufrés du poireau sont communs à la famille des Liliacées, qui comprend l’ail, les oignons, les échalotes et bien sûr nos poireaux. Ces composés sont efficaces pour lutter contre les cancers et protéger nos cellules de l’oxydation.
Flavonoïdes (kaempférol).
Les flavonoïdes neutralisent les radicaux libres responsables des maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux… Ils sont reconnus pour leurs capacités antioxydantes et anti-inflammatoires.
Potassium.
Le poireau est riche en potassium neutralisent les radicaux libres responsables des maladies cardiaques, d’athérosclérose, de cataracte, d’arthrite et bien d’autres maux… Ils sont reconnus pour leurs capacités antioxydantes et anti-inflammatoires.
Sélénium.
Il représente une excellente source de sélénium quand il est cuit.
Cuivre.
Le poireau cuit, nous apporte une bonne quantité de cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Manganèse.
L’apport en manganèse du poireau est excellent quand on le consomme cru. Il s’agit d’une enzyme qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Il permet notamment de limiter les problèmes liés à certaines allergies. Mais également de prévenir les dommages causés par les radicaux libres.
Vitamine B9 ou acide folique.
Il doit rester cru pour nous délivrer son acide folique. Qui assure le renouvellement cellulaire. Cette vitamine est très intéressante pour les femmes enceintes, ainsi que pour le développement du fœtus. Mais également pour les enfants en croissance, ainsi que pour les personnes convalescentes.
Vitamine C.
La vitamine C est très concentrée dans la partie verte de nos poireaux. Elle participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
Vitamine E.
Le poireau à une bonne teneur en vitamine E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
L’huile d’olive.

De la vitamine E.
L’huile d’olive représente un apport élevé en vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.

Polyphénols antioxydants (hydroxytyrosol et le oleuropéine).
L’huile d’olive est riche en polyphénols qui sont des antioxydants qui permettent à notre corps de lutter contre le vieillissement en neutralisant les fameux radicaux libres qui s’attaquent à nos cellules et accélèrent le déclin de l’organisme. On les trouve souvent dans nos fruits et légumes.
Les noisettes.

De la vitamine E.
La noisette contient beaucoup de vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Des vitamines B.
Elle est particulièrement riche en vitamines B qui forment un groupe de huit vitamines hydrosolubles (solubles dans l’eau) réunies en raison de leur structure moléculaire, qui jouent un rôle important dans le métabolisme des cellules. Il s’agit principalement de la vitamine B1 qui joue un rôle essentiel dans le métabolisme cellulaire. Ainsi que la vitamine B5 qui est également appelée acide pantothénique et qui est indispensable au métabolisme des différents nutriments énergétiques : glucides (sucres), lipides (graisses), acides aminés (constituants des protéines). Mais également de la vitamine B6 qui intervient dans la synthèse des neurotransmetteurs permettant la transmission de l’influx nerveux. Le métabolisme de l’hémoglobine, les protéines, les hormones stéroïdes, certaines enzymes et les mécanismes immunitaires. Et de la vitamine B9 qui est également appelée acide folique (ou folates), qui est essentielle au renouvellement cellulaire ainsi qu’au développement du fœtus en cas de grossesse.
Des fibres.
La noisette est une bonne source en fibres qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.

Du manganèse.
La noisette est très riche en magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du cuivre.
Elle est très riche en cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Du magnésium.
La noisette est également très riche en magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du fer.
Elle est aussi très riche en fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du calcium.
La noisette est enfin très riche en calcium qui est le sel minéral qui est le plus abondant dans l’organisme. Il représente 2 % de notre poids corporel et près de 99 % est concentré dans nos os et nos dents. Ce qui reste joue tout de même un rôle primordial dans le bon fonctionnement de toutes les cellules de notre organisme, dont les cellules musculaires (notamment celles de notre cœur) et les cellules nerveuses. En outre, le calcium participe également aux fonctions rénales, au mécanisme de la coagulation sanguine ainsi qu’à plusieurs processus enzymatiques.
Du potassium.
Elle est une bonne source en potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du zinc.
La noisette est une bonne source en zinc qui participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau. Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Du phosphore.
Elle est une source en phosphore qui joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
Des allergènes (histamine).
La noisette peut déclencher une allergie qui décline par des démangeaisons et une sensation de brûlure au niveau de la bouche juste après les avoir consommés. En l’absence d’autres symptômes, cette réaction n’est pas grave, mais il est toutefois conseillé de consulter un allergologue.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :




