Fiches cuisines – Toutes les recettes – Entrées – Poulet au kiwi.
J’épluche le kiwi avec un couteau économe puis le coupe en tranches, assez épaisses sinon tout va se terminer en bouillie. 😉
Puis, j’ajoute délicatement les fruits dans ma poêle.
Je sale et poivre en remuant régulièrement.
Au bout de 10 minutes maximum, c’est cuit.
Et je me régale. MMMIIIAAAMM
Bonne dégustation de notre poulet au kiwi et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
POULET AU KIWI
Bonjour à toutes et tous, Je vous propose aujourd’hui de réaliser un excellent poulet au kiwi. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ce poulet au kiwi. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.
MATÉRIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Une casserole antiadhésive. Un économe ou un couteau.OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER.

Le poulet.

L’acheter.
Vérifiez l’origine de la viande de poulet ou de dinde en particulier ses conditions d’élevage et préférez la dinde fermière, d’appellation ou sous label. L’escalope ou le filet sont prélevés dans le muscle de la poitrine. Le filet, la cuisse et le pilon sont proposés avec ou sans la peau. Les aiguillettes sont détaillées finement, les morceaux pour faire sauter à la poêle ou pour réaliser des brochettes se présentent sous forme de gros cubes. Votre volailler ou votre boucher peut vous les préparer à la demande. Vous les trouverez aussi facilement en barquettes préemballées.
Le consommer.
Une cuisson courte et douce à la poêle est recommandée pour les découpes de poulet. Vous cuirez le rôti et le pilon au four, d’abord à four chaud, puis à four moyen. La cuisson au micro-onde convient tout à fait au poulet : veillez simplement à choisir la puissance moyenne et non la puissance maximale, qui durcirait la viande.
Le conserver.
Placez la viande dans la partie la plus froide de réfrigérateur (entre 0 et 4°C) et gardez là au maximum 2 ou 3 jours. Pour la viande préemballée, ne dépassez jamais la date limite de consommation.
Le kiwi.

L’acheter.
Le kiwi est présent sur les marchés tout au long de l’année. En hiver, on trouve des kiwis de production française (Sud-Ouest, Bretagne et Corse), alors que l’été est la saison du kiwi de Nouvelle-Zélande. Le kiwi est cueilli mûr mais encore ferme. Contrairement à la plupart des fruits, il devient plus sucré lorsqu’il mûrit à la température de la pièce. Choisir des fruits intacts et exempts de taches. Eviter ceux qui sont très mous ou endommagés : ils n’ont plus autant de saveur ni de valeur nutritive.
Le consommer.
Le kiwi continue à mûrir à température ambiante : il est donc préférable de l’acheter encore ferme pour étaler sa consommation sur la semaine. Vérifiez que sa peau est duveteuse et non flétrie. Le kiwi est délicieux nature, le peler et le manger tel quel ou le couper en deux et le manger à la cuiller. On met le kiwi dans les céréales, le yaourt, les sorbets, les salades de fruits (l’ajouter au dernier moment pour qu’il n’amollisse pas les autres fruits). Il décore gâteaux, tartes et bavarois. On le transforme en jus. Eviter de trop broyer les petites graines, car elles donnent au jus une saveur amère.
Le conserver.
A température ambiante.
Laisser mûrir le kiwi à la température de la pièce jusqu’à ce qu’il cède sous une légère pression des doigts. Le mettre dans un sac en papier pour accélérer le processus. Si on désire qu’il mûrisse encore plus rapidement, glisser une pomme ou une banane dans le sac.Au réfrigérateur.
Conserver le kiwi mûr au réfrigérateur, il se gardera jusqu’à trois semaines. On peut le réfrigérer durant deux ou trois semaines le kiwi non mûr et le mettre à mûrir à la température de la pièce selon les besoins.Au congélateur.
Le kiwi ne se congèle pas.
L’huile d’olive.

L’acheter.
L’huile d’olive est surtout composée de graisses monoinsaturées (acide oléique), ne comprend pas beaucoup d’oméga 3, mais elle est pauvre en oméga 6 (ce qui est un atout) et riche en polyphénols antioxydants. Elle est à privilégier au quotidien, mais rien n’empêche de varier de temps à autre avec une huile moins courante, souvent très parfumée : noisette, macadamia, pistache, sésame, avocat, citrouille, etc. Par ailleurs certains mélanges d’huiles présentent de bons profils lipidiques, avec un ratio satisfaisant entre oméga 6 et oméga 3, mais leur importance respective n’est pas forcément indiquée sur l’étiquette.
La consommer.
Prenez l’habitude de cuisiner à l’huile plutôt qu’au beurre. Evitez de surchauffer l’huile, qui ne doit pas fumer et jetez l’excédent de gras cuit. Limitez les fritures (frites, beignets, etc.).
La conserver.
Vérifiez la DDM (date de durabilité minimale, « à consommer de préférence avant … »), qui doit se situer au moins 6 mois après l’achat. Soyez attentif surtout lorsqu’il s’agit vierges peu courantes, dont les stocks ne tournent pas toujours assez vite dans les magasins. Rangez les bouteilles dans un endroit sec, frais et obscur pour éviter l’oxydation. Pour la même raison, choisissez des conditionnements qui ne laissent pas passer la lumière. Rebouchez bien la bouteille à chaque emploi. Certaines huiles (noix, noisette, par exemple) se conservent plutôt au réfrigérateur après ouverture car elles rancissent facilement : elles peuvent alors se figer un peu, ce qui n’altère en rien leurs qualités. Pour des huiles que vous ne consommez pas chaque jour, achetez des petits conditionnements de 20 à 30 centilitres.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.JE RÉALISE MON POULET AU KIWI

Pour deux personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Je laisse mijoter pendant 5 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MON POULET AU KIWI.
Je prends un blanc de poulet. Ainsi qu’un kiwi. De l’huile d’olive. Du sel et du poivre.
POUR PRÉPARER MON POULET AU KIWI.
Je fais chauffer une poêle et y verse un filet d’huile d’olive. Puis, je coupe mon blanc de poulet dans le sens de l’épaisseur, pour obtenir deux escalopes fines. Ensuite, je peux éventuellement les découper en lanières grossières pour accélérer encore la cuisson. Je dépose la viande dans ma poêle.


LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGRÉDIENTS.

Le poulet.

Des protéines.
Le poulet est une excellente source de protéines de qualité, très bien équilibrées en acides aminés essentiels nécessaires à la synthèse et au renouvellement des cellules de l’organisme. Elle est peu chargée en tissus conjonctif et donc très tendre et bien assimilée. Une portion de 100 grammes de dinde cuite apporte 26 à 29 grammes de protéines, soit une bonne fraction de l’apport quotidien recommandé pour l’adulte.
De la vitamine B.
Il est une bonne source de vitamines B qui forment un groupe de huit vitamines hydrosolubles (solubles dans l’eau) réunies en raison de leur structure moléculaire, qui jouent un rôle important dans le métabolisme des cellules. Toutes sont présentes à des taux élevés, notamment la vitamine B3 qui est une vitamine hydrosoluble, parfois appelée niacinamide ou vitamine PP car une carence en cette vitamine est responsable de la pellagre. Elle est nécessaire comme cofacteur d’oxydoréduction au métabolisme des glucides, des lipides et des protéines. Ainsi que la vitamine B12 qui joue un rôle dans la synthèse des acides gras et des acides aminés et dans la maturation des globules rouges.
Du fer.
Le poulet procure aussi du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du zinc.
Il est également très riche en zinc qui participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau. Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Le kiwi.

De la vitamine C ou acide ascorbique.
Un excellent taux de vitamine C qui participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
Des fibres.
Un bon apport de fibres qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. Ainsi qu’elles permettent également de piéger le cholestérol. Cet apport est encore meilleur si elles sont cuites, mais cette cuisson nous fera perdre de nombreux nutriments. 😉
Du potassium.
Une bonne source de potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Des vitamine E.
Un très bon taux de vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
L’huile d’olive.

De la vitamine E.
L’huile d’olive représente un apport élevé en vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Des acides gras (monoinsaturés).
Elle contient majoritairement des acides gras insaturés (AGI) qui font partie de la famille des acides gras, à la base de la formation des lipides. Ils comportent une ou plusieurs doubles liaisons carboniques. On peut distinguer ainsi respectivement les acides gras monoinsaturés et les acides gras poly-insaturés. Ils ont de nombreuses fonctions importantes dans l’organisme et jouent notamment un rôle dans la synthèse hormonale et combattent l’hypertension artérielle. De plus, ils ont des effets « anticholestérol », qui protègent notre cœur. Les principales sources alimentaires de ces acides gras sont les huiles végétales, la viande, les poissons gras et les œufs.
Polyphénols antioxydants (hydroxytyrosol et le oleuropéine).
L’huile d’olive est riche en polyphénols qui sont des antioxydants qui permettent à notre corps de lutter contre le vieillissement en neutralisant les fameux radicaux libres qui s’attaquent à nos cellules et accélèrent le déclin de l’organisme. On les trouve souvent dans nos fruits et légumes.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :



