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ROCHERS COCO
Bonjour à toutes et tous,
Je vous propose aujourd’hui de réaliser d’excellent rochers coco. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ces rochers coco. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.
MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Un four.
OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER
La noix de coco.
L’acheter.
Je trouve des noix de coco dans tous les magasins ou supermarchés toute l’année. Je choisis une noix lourde et contenant du liquide en la secouant, car c’est un signe de fraîcheur.
Cependant, il n’existe malheureusement pas encore de noix de coco biologique en vente dans nos commerces en France. Si vous souhaitez du bio, veuillez lire le paragraphe ci-dessous intitulé “Ma touche personnelle”.
La consommer.
La noix de coco fraîche ou mûre.
Lorsque la noix de coco n’est pas totalement mûre, la pulpe blanche est encore tendre (on peut la gratter à la cuillère) et le fruit renferme une grande quantité d’eau de coco douce et désaltérante.
La noix de coco séchée.
La pulpe peut être séchée et vendue en morceaux (pour l’apéritif) ou en poudre (pour réaliser des gâteaux). Déshydratée, elle conserve le même profil nutritionnel (matières grasses, sels minéraux, etc.), mais son apport énergétique s’élève beaucoup : plus de 600 kilos calories pour 100 grammes.
Le jus de coco.
C’est le liquide (l’eau de coco) présent au cœur du fruit. Consommé frais, lorsqu’on casse la noix, il ne contient qu’environ 3 à 5% de glucides. Mais, dans le commerce (épiceries asiatiques surtout), les canettes de jus de coco peuvent être très sucrées.
Le « lait » de coco.
Obtenu par pression de la pulpe, il est très riche en lipides, 18% en moyenne, mais parfois autant que les crème fraîche (30%). Il a d’ailleurs les mêmes usages culinaires (sauces, gâteaux, etc.).
A noter : l’appellation « lait » de coco est normalement interdite pour les jus végétaux, mais on la trouve encore souvent sur les emballages et elle est mieux connues que l’appellation autorisée de boissons végétale.
Des matières grasses.
L’huile de coprah est extraite de la pulpe de noix de coco. Solide à température ambiante, elle est utilisée pour les fritures et entre dans la composition de certaines margarines. Elle est aussi très employée dans l’industrie agroalimentaire, comme huile de palme. C’est une huile à éviter car très riche en acides gras saturés, néfastes pour le système cardio-vasculaire.
La conserver.
La noix de coco se conserve théoriquement plusieurs semaines à température ambiante. Mais, du fait de l’absence d’indicateur concernant sa date de récolte, il est conseillé de la consommer dans les jours qui suivent sont achat en France métropolitaine.
Ma touche personnelle.
Je privilégie toujours les produits biologiques, quand je le peux. En effet, il est préférable de choisir des noix de coco biologiques, car elles seront forcément moins traitées chimiquement et donc plus saines et aurons un meilleur goût. Mais je reconnais que c’est presque impossible actuellement en France. Néanmoins pour ceux qui le souhaitent, j’ai trouvé un fournisseur qui importe des noix de coco fraîches et biologiques, certifiée Ecocert. Cette certification vous assure, que pour sa culture, les moyens de transformation et de transport, aucun produit toxique n’est utilisé. Si vous en voulez, vous pouvez cliquer sur un des deux liens suivants :
http://www.cocoboys.biohttp://www.biovie.fr
Personnellement j’achète toujours mes cocos chez Biovie et j’en suis très satisfais. Elles sont vraiment excellentes. 😊
Les œufs.
L’acheter.
Les catégories.
Tous les œufs que l’on trouve dans le commerce sont étiquetés catégorie A, ce qui signifie qu’ils sont exempts de défauts majeurs (fêlures). Les œufs de catégorie B sont destinés à l’industrie agroalimentaire.
Le calibre.
Avant d’être conditionnés, les œufs sont classés selon leur calibre : XL (plus de 73 grammes), L (63 à 73 grammes), M (53 à 63 grammes), S (moins de 53 grammes). La taille n’est pas un critère de qualité, car plus l’œuf est gros, plus le blanc est gros, plus le blanc est important en proportion.
Traçabilité et mode d’élevage.
Les œufs sont marqués d’un code comportant le numéro distinctif du producteur et indiquant le mode d’élevage : o = poule d’élevage biologique, 1 = poule élevée en plein air, 2 = poule élevée au sol dans un bâtiment, 3 = poule élevée en cage (environ 55% des vendus aux particuliers contre 80% il y a une dizaine d’années). Le mode d’élevage est également inscrit sur l’emballage.
Exemple : dans le code 3 FR WFB02, le 3 signifie que la poule qui a pondu est élevée en cage, FR précise que cet élevage se trouve en France, WFB02 désigne le producteur et le bâtiment de ponte.
La fraîcheur.
La date de consommation recommandé (DCR) ou date de durabilité minimale (DDM) est inscrite sur l’emballage et sur les œufs, mais elle n’est pas toujours très visible. Elle correspond au 28ème jour suivant celui de la ponte.
La mention « extra » ou « extra frais » s’applique jusqu’au 9ème jour après la ponte (la date de ponte et la date limite de 9 jours sont donc inscrites sur l’emballage).
La vente en vrac.
Un présentoir doit indiquer la catégorie de qualité et de poids, le mode d’élevage, la signification du code du producteur et la date de consommation recommandée.
Le consommer.
L’œuf est un aliment de base d’une excellente qualité nutritionnelle. Il est facile à cuisiner. De plus, il est riche en protéines et en vitamines et peut figurer dans nos menus plusieurs fois par semaine.
Le conserver.
Même si les œufs sont transportés et entreposés à température ambiante dans les magasins, il est conseillé de les conserver au réfrigérateur chez soi (dans les alvéoles prévues à cet effet ou mieux, dans leur emballage d’origine) et d’éviter les variations de température (ne pas les sortir si on ne les consomme pas).
Respectez la DCR (28 jours à partir de la ponte) et prenez des œufs extra-frais (moins de 9 jours) pour les usages crus ou peu cuits décrits ci-dessus.
Attention !
Il ne faut pas laver les coquilles : elles sont enduites d’une substance naturelle qui fait barrière aux micro-organismes. Pour cette raison, jetez tout œufs cassé ou fêlé.
Risque de contamination des œufs.
La principale menace sanitaire est une contamination des œufs par des salmonelles (élevage infecté par cette bactérie ou contamination de l’œuf lui-même). Une surveillance des élevages et de la commercialisation permet normalement de limiter ce risque, mais on recommande aux personnes fragiles (jeunes enfants, personnes âgées ou immunodéprimées) ainsi qu’aux femmes enceintes d’éviter de manger des œufs crus (mayonnaise, tartare, mousse, etc.) ou peu cuits (œufs à la coque), la cuisson détruisant les salmonelles.
A noter : Les mécanismes de surveillance et de contrôle ne sont pas toujours suffisants pour empêcher des fraudes.
Le sucre.
Nous trouvons du sucre dans tous les commerces et supermarchés. Cependant, je tiens à vous rendre attentif aux différents types de sucre qui sont proposés. En effet, la majorité du sucre vendu est du sucre blanc, qui peut être raffiné ou non. De plus, personnellement, je vous recommande de plutôt consommer des sucres complets non raffinés.
De ce fait, la simple action d’aller acheter un peu de sucre, commence à devenir complexe… Je vais vous expliquer sommairement ci-dessous les principales différences entre les différents types de sucres.
Les sucres raffinés.
Lors du raffinage du sucre, on lui retire toutes ces vitamines et ces minéraux, sans rien lui apporter.
Les sucres non raffinés.
Les sucres qui ne sont pas raffinés, eux ont gardés toutes leurs vitamines et leurs minéraux. Ils sont donc bien plus complets et nous apporte des nutriments utiles à notre organisme.
Le sucre blanc.
Le très répandu sucre blanc est généralement constitué presque uniquement de saccharose raffiné. De ce fait il ne possède plus aucune vitamine, ni aucuns minéraux. ☹
Le sucre de canne.
Le sucre de canne non raffiné, nous apportera de nombreuses vitamines et sels minéraux. Dont des vitamines, du calcium, du magnésium, du phosphore, du fluor, du fer, du cuivre, du zinc, etc. 😊
Mais attention, s’il est raffiné comme c’est le cas de la cassonade, alors tous ces nutriments seront perdus ! ☹
Le sucre de betteraves.
Le sucre extrait des betteraves n’est normalement pas raffiné. De ce fait, même s’il est blanc, il conserve tous ces nutriments. 😉
Mais comme dit précédemment, il convient absolument de ne pas choisir de sucre raffiné sinon tous ces nutriments seront perdus. ☹
L’alternatives du miel.
Certes le miel, ce n’est pas du sucre, mais sont pouvoir sucrant est excellent pour un apport calorique assez faible. De plus, il a de nombreuses propriétés santés que ne possèdent aucun sucre. Notamment, il est riche en vitamines B, en oligo-éléments, en acides aminés et en sels minéraux. Mais il permet également à l’organisme de mieux assimiler le calcium et le magnésium et facilite notre transit intestinal.
Ajoutons à cela qu’il est un excellent antiseptique, qui renforce notre système immunitaire. Mais permet aussi de préserver notre cœur en régulant notre tension artérielle.
L’alternatives dusirop d’érable.
Une autre alternative au sucre est le sirop d’érable qui est très apprécié par nos amis Canadiens. Il est riche en fer, en phosphore, en potassium et en magnésium. De plus, il contient beaucoup d’antioxydants (3 à 5 fois plus que miel). Il est donc très efficace pour lutter contre le vieillissement des cellules et l’apparition de certains cancers. 😊
Mais attention, il convient d’acheter un sirop pur, contenant 100% de sirop d’érable. Car malheureusement comme pour les jus de fruits, l’industrie agroalimentaire vend des sirops d’érable additionnés avec du sucre raffiné. Ce qui dénature totalement l’intérêt du produit ☹
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.
JE RÉALISE MES ROCHERS COCO.
Pour six personnes.
Mon temps de préparation est de 5 minutes.
Je laisse cuire durant 15 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER ROCHERS COCO.
Je prends cent vingt-cinq grammes de pulpe de noix de noix de coco ou à défaut, de la poudre de noix de coco.
Ainsi que cent vingt grammes de sucre
Et trois blancs d’œufs.
POUR PRÉPARER MES ROCHERS COCO, Je
préchauffe le four à 200°C.
Dans un saladier, je mélange la pulpe de noix de coco, le sucre en poudre et les blancs d’œufs.
Je recouvre la plaque du four avec du papier sulfurisé.
A l’aide d’une cuillère à café, je fais des petits tas en forme de boule et les dépose sur la plaque.
J’enfourne 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que les rochers colorent légèrement.
Je laisse refroidir et je savoure… 😊 MMMIIAAMMM
LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.
La noix de coco.
Fer
Le fer est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Manganèse.
Le manganèse est une enzyme qui intervient avec d’autres pour permettre la réalisation d’une douzaine de processus métaboliques. Ainsi que la prévention des dommages causés par les radicaux libres.
Cuivre.
Le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Phosphore.
Le phosphore joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe également à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH du sang.
Sélénium.
Le sélénium est un minéral qui travaille avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.
Magnésium.
Le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Il joue aussi un rôle dans le métabolisme de l’énergie et dans la transmission de l’influx nerveux.
Potassium.
Le potassium sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles, incluant le cœur et participe à la transmission de l’influx nerveux.
Zinc.
Le zinc participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.
Vitamine B3.
La vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l’alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.
Vitamine B5 ou acide pantothénique.
L’acide pantothénique (vitamine B5) fait partie d’une coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la fabrication des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux) et de l’hémoglobine.
Vitamine B6.
La vitamine B6 fait partie des coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leurs permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.
Vitamine B9 ou acide Folique.
L’acide folique (vitamine B9) participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
Le blanc d’œufs.
Des protéines.
Le blanc d’œuf est un aliment protéique d’excellente qualité : il contient les huits acides aminés essentiels à la croissance et à l’entretien du corps humain que l’organisme est incapable de synthétiser. Les protéines servent surtout à former, à réparer et à maintenir en bon état les tissus, comme la peau, les muscles et les os. Elles servent aussi à la formation des enzymesdigestives et des hormones.
De la vitamine B.
Il est également une très bonne source d’une vitamine du groupe B nommée choline. Cette vitamine qu’on retrouve essentiellement dans le jaune de l’œuf, joue un rôle essentiel dans la formation, le maintien et la réparation des fonctions cérébrales. Des études ont également montré l’efficacité de cette vitamine sur la mémoire et la concentration.
De plus, la choline pourrait être efficace contre la maladie d’Alzheimer. Cette maladie est associée un déficit en acétylcholine. Or la choline est un précurseur de ce neuromédiateur. Des études ont montré des effets bénéfiques chez des personnes âgées souffrants de déficits cognitifs, au niveau de leur mémoire. Des études plus poussées restent à réaliser, mais cela reste une piste intéressante.
Phosphore.
Son phosphore joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
Fer.
Le blanc d’œuf contient du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Zinc.
Le zinc qu’il contient participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau.
Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Cuivre.
Le blanc d’œuf contient du cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Sélénium.
Il contient du sélénium qui est un minéral qui travaille avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.
De la vitamine B2.
Sa vitamine B2 participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte.
Un allergène.
Les protéines du blanc d’œuf contiennent un allergène potentiel. Cette allergie est souvent transitoire et disparaît après quelques années. Elle est très rare chez les adultes.
Bonne dégustation de nos rochers coco et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
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