Fiches cuisines – Toutes les recettes – Entrées – Rutabagas grillés accompagnés d’une purée de rutabaga.
En option, une racine de gingembre (si vous aimez).
Durant ce temps, je prépare ma purée.
J’épluche le légume, le coupe en cubes que je dépose dans mon cuit vapeur.
Je fais cuire à la vapeur durant au moins 15 minutes.
Puis, je commence à presser mes rutabagas avec mon presse-purée.
J’y ajoute l’huile d’olive, le sel et le poivre.
Et je continue à presser pour bien mélanger tous mes ingrédients.
Enfin, je dresse mon assiette avec mes rutabaga rôtis et ma purée.
Et je me régale en trempant mes rutabagas dans ma purée. MMIIIAAAMMM
Bonne dégustation de nos rutabagas grillés accompagnés d’une purée de rutabaga. et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
RUTABAGAS GRILLES ACCOMPAGNES D’UNE PUREE DE RUTABAGA.
Bonjour à toutes et tous, Je vous propose aujourd’hui de réaliser des rutabagas grillés accompagnés d’une purée de rutabaga. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble ces rutabagas grillés accompagnés d’une purée de rutabaga. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.
MATERIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Un four. Un cuit vapeur.OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

Le rutabaga.

L’acheter.
Vous ne trouverez ce légume qu’en hiver. Choisissez de préférence des racines fermes et lourdes, sans taches brunes. Et pas trop volumineux car un gros rutabaga risque d’être dur et fibreux. Il est habituellement vendu sans ses fanes, qui sont été retirées lors de la cueillette pour diminuer la perte d’humidité.
Le consommer.
Lors de sa préparation, il convient de l’éplucher et d’enlever son cœur si celui-ci est brunâtre à la suite d’un manque de bore dans le sol ou il a poussé. Il se mange cru ou cuit et se prête bien aux plats d’hiver tels que le pot-au-feu, la potée ou les potages. Associez-le à d’autres légumes : chou et navets si vous aimez particulièrement les crucifères. Sinon des carottes et des pommes de terre. Vous pouvez aussi le préparer en purée, en le relevant de noix de muscade et de persil haché.
Le conserver.
Le rutabaga se conserve sans le laver, durant trois semaines au réfrigérateur. Enlever les fanes si elles sont encore présente. Il se conserve facilement au congélateur après avoir été blanchi durant 2 minutes ou cuit en purée.
L’huile d’olive.

L’acheter.
L’huile d’olive est surtout composée de graisses monoinsaturées (acide oléique), ne comprend pas beaucoup d’oméga 3, mais elle est pauvre en oméga 6 (ce qui est un atout) et riche en polyphénols antioxydants. Elle est à privilégier au quotidien, mais rien n’empêche de varier de temps à autre avec une huile moins courante, souvent très parfumée : noisette, macadamia, pistache, sésame, avocat, citrouille, etc. Par ailleurs certains mélanges d’huiles présentent de bons profils lipidiques, avec un ratio satisfaisant entre oméga 6 et oméga 3, mais leur importance respective n’est pas forcément indiquée sur l’étiquette.
La consommer.
Prenez l’habitude de cuisiner à l’huile plutôt qu’au beurre. Evitez de surchauffer l’huile, qui ne doit pas fumer et jetez l’excédent de gras cuit. Limitez les fritures (frites, beignets, etc.).
La conserver.
Vérifiez la DDM (date de durabilité minimale, « à consommer de préférence avant … »), qui doit se situer au moins 6 mois après l’achat. Soyez attentif surtout lorsqu’il s’agit vierges peu courantes, dont les stocks ne tournent pas toujours assez vite dans les magasins. Rangez les bouteilles dans un endroit sec, frais et obscur pour éviter l’oxydation. Pour la même raison, choisissez des conditionnements qui ne laissent pas passer la lumière. Rebouchez bien la bouteille à chaque emploi. Certaines huiles (noix, noisette, par exemple) se conservent plutôt au réfrigérateur après ouverture car elles rancissent facilement : elles peuvent alors se figer un peu, ce qui n’altère en rien leurs qualités. Pour des huiles que vous ne consommez pas chaque jour, achetez des petits conditionnements de 20 à 30 centilitres.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.JE RÉALISE MES RUTABAGAS GRILLES ACCOMPAGNES D’UNE PUREE DE RUTABAGA.

Pour quatre personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Je laisse rôtir au four durant au moins 1 heure

Et fais cuire à la vapeur douce durant au moins 15 minutes.
MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MES RUTABAGAS GRILLES ACCOMPAGNES D’UNE PUREE DE RUTABAGA.
Je prends des rutabagas. De l’huile d’olive. Ainsi que du sel et du poivre.
POUR PRÉPARER MES RUTABAGAS GRILLES ACCOMPAGNES D’UNE PUREE DE RUTABAGA, Je
fais rôtir mes rutabagas longuement et doucement au four et les transforme en vrais bonbons caramélisés accompagnant à merveille n’importe quelle viande rôtie.





Ma touche personnelle.
Certains palais avertis apprécient du gingembre râpé sur la purée de rutabaga. 😉LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGREDIENTS.

Le rutabaga.

Des fibres.
Le rutabaga contient des fibres qui favorisent le bon fonctionnement de nos intestins en régularisant et en stimulant notre péristaltisme intestinal. De ce fait, elles limitent délicatement les risques de constipation. De plus la consommation de fibres permet également de piéger le cholestérol.
Du potassium.
Il est une bonne source de potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du magnésium.
Le rutabaga est également une bonne source de magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du sodium.
Il contient du sodium qui est un élément minéral très présent dans notre organisme, surtout dans le plasma. Il est apporté par l’alimentation sous forme de chlorure de sodium (le sel). Des apports trop importants sont un facteur de risque d’hypertension artérielle. Cependant, il est indispensable à la transmission de l’influx nerveux et à la contraction musculaire. Sa concentration dans le sang et le liquide interstitiel conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules et le volume sanguin. Chez les personnes sensibles à l’apport de sel, l’excès de sodium peut augmenter le volume sanguin et ainsi favoriser la survenue d’une hypertension artérielle.
Des protéines végétales.
Le rutabaga contient des protéines végétales qui sont de plus en plus recommandées dans le cadre d’un régime alimentaire, que ce soit pour perdre du poids ou plus simplement pour mieux s’alimenter. En effet les nutritionnistes préfèrent souvent ces protéines car elles sont dépourvues de cholestérol et sont constituées de graisses bénéfiques pour la santé. Mais, elles sont « incomplètes » car elles ne contiennent pas tous les acides aminés essentiels, que le corps ne peut ou ne sait fabriquer. De ce fait, contrairement aux protéines animales qui disposent de tous ces acides animés, pour les végétales il convient de sélectionner et d’additionner plusieurs sources différentes de ces acides animés pour couvrir tous nos besoins. Il est donc possible de remplacer parfaitement les protéines animales par des protéines végétales, mais cela demande un peu plus de rigueurs et de connaissances. 😉
De la vitamine B1 ou thiamine.
Il est une source de vitamine B1 qui participe à de nombreuses réactions métaboliques des glucides, de production d’énergie et du bon fonctionnement de notre système nerveux.
De la vitamine B9 ou folate.
Le rutabaga est une bonne source de vitamine B9, acide folique ou également folate qui participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
De la vitamine C ou acide ascorbique.
Il est également une bonne source de vitamine C qui participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
L’huile d’olive.

De la vitamine E.
L’huile d’olive représente un apport élevé en vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Des acides gras (monoinsaturés).
Elle contient majoritairement des acides gras insaturés (AGI) qui font partie de la famille des acides gras, à la base de la formation des lipides. Ils comportent une ou plusieurs doubles liaisons carboniques. On peut distinguer ainsi respectivement les acides gras monoinsaturés et les acides gras poly-insaturés. Ils ont de nombreuses fonctions importantes dans l’organisme et jouent notamment un rôle dans la synthèse hormonale et combattent l’hypertension artérielle. De plus, ils ont des effets « anticholestérol », qui protègent notre cœur. Les principales sources alimentaires de ces acides gras sont les huiles végétales, la viande, les poissons gras et les œufs.
Polyphénols antioxydants (hydroxytyrosol et leoleuropéine).
L’huile d’olive est riche en polyphénols qui sont des antioxydants qui permettent à notre corps de lutter contre le vieillissement en neutralisant les fameux radicaux libres qui s’attaquent à nos cellules et accélèrent le déclin de l’organisme. On les trouve souvent dans nos fruits et légumes.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :



