Fiches cuisines – Toutes les recettes – Entrées – Salade de mâche chaud / froid qui croustille.
Puis, je dépose une belle poignée de mâche dans mon saladier.
J’ajoutez les croûtons (mais attention à ne pas y mettre tout le sachet !).
Ainsi que mon assaisonnement constitué d’huile d’olive, de vinaigre, de sel et de poivre.
Une fois que l’œuf est cuit, je l’écaille délicatement sans le casser.
Et le dépose soigneusement en entier, sur ma salade.
Quand je vais le couper, le jaune va couler et ce sera grandiose. WWAAAOUU !
Puis, comme toujours… Je vais me régaler. MMIIAAAMMM.
Bonne dégustation de notre salade de mâche chaud / froid qui croustille et à très bientôt pour découvrir et essayer une nouvelle recette ensemble.
A très bientôt,
Thierry Klethi
La santé en mangeant
SALADE DE MÂCHE CHAUD/FROID QUI CROUSTILLE.
Bonjour à toutes et tous, Je vous propose aujourd’hui de réaliser une excellente salade de mâche chaud / froid qui croustille. Pour commencer je vais vous présenter le matériel qu’il nous faut et les produits nécessaires à la réalisation de cette recette. Puis nous aborderons l’aspect pratique de sa réalisation. Et enfin, les apports que nous apporte la consommation des ingrédients de cette excellente recette. Mais ne nous attardons pas trop, lançons-nous, allons-y et réalisons ensemble cette salade de mâche chaud / froid qui croustille. Et surtout régalons nous. Miammm, c’est trop bon et c’est fait maison avec amour.MATÉRIEL NÉCESSAIRE POUR PRÉPARER LA RECETTE
Une casserole antiadhésive.OÙ ET QUELS PRODUITS ACHETER

La mâche.

L’acheter.
Vendue en vrac ou en sachet réfrigéré, la mâche doit être d’un beau vert vif et brillant, sans taches. Ses feuilles fragiles se flétrissent vite : vérifiez qu’elles ne sont pas déshydratées (jaunâtres), voire pourries (brunes) ! La radicelle, la petite racine, doit également être fraîche (blanc crème).
La consommer.
La mâche étant très concentrée en micronutriments utiles, iI suffit d’en consommer une belle poignée (40 grammes) pour profiter de ses vertus. Rincez-la rapidement sans la faire tremper, dans deux ou trois eaux afin d’éliminer le sable, puis égouttez-la. Les salades en barquette ou sachet réfrigéré peuvent être rincées une seule fois.
La conserver.
La mâche craint surtout la déshydratation : stockez-la dans le bac à légumes du réfrigérateur, enveloppée dans un sac (ou dans son conditionnement d’origine). Et consommez la dans les 2 à 3 jours.
Les croûtons de pain.

L’acheter
Le pain artisanal est généralement bien meilleur que le pain industriel, sur un plan gustatif (goût et texture), mais également d’un point de vue nutritionnel.Le pain complet
Il est intéressant pour sa richesse en fibre, sa teneur en minéraux et en vitamines plus importante grâce à l’utilisation de la mouture complète du grain de blé. Ainsi, cela permet d’assimiler progressivement les glucides complexes qui le composent.Le pain semi-complet.
Il est plus digeste que le pain complet, mais assez rare dans les boulangeries.Le pain aux céréales.
Il est plus riche en fibre, en vitamines et e minéraux que le pain blanc.Le pain bio.
En optant pour un pain biologique, on évite les pesticides chimiques concentrés dans l’enveloppe du grain de blé.Le pain « au levain ».
Sa fermentation est plus lente ce qui garantit une meilleure qualité nutritionnelle.La baguette « tradition ».
Lorsqu’elle est préparée par un artisan boulanger respectant les temps de fermentation, elle est offre une bonne valeur gustative.Le pain de mie.
Ils se caractérisent par leur moelleux et leur conservation plus longue que le pain de boulangerie. Ils sont intéressants si vous avez de la peine à mastiquer le pain classique et séduisent les enfants. Mais l’ajout de sucre et de matières grasses imposent une vigilance sur la qualité. Ainsi, ils sont à consommer de manière plus occasionnelle que les pains traditionnels.Les pains fantaisie.
Il s’agit des pains aux lardons, au fromage, aux noix, aux olives, aux oignons, aux fruits secs, etc. Certains sont riches en matières grasses et à réserver à une consommation très occasionnelle.Les biscottes et autres pain grillés.
Ils se caractérisent par leur cuisson plus importante qui rend l’amidon plus digeste. Mais ce dessèchement les rend également plus calorique. On surveillera la quantité et la qualité des matières grasses ajoutées.
Attention à la fermentation !
Une mie très blanche est le signe d’une fermentation rapide : le pain manque alors de saveur et rassit dans la journée. Un bon pain a une mie crème, des alvéoles irrégulières, une croûte assez épaisse et croustillante. Il se conserve jusqu’au lendemain.
Le consommer.
Dans le cadre d’une alimentation équilibrée, la consommation d’une portion de pain et/ou de féculents est conseillée à chaque repas. Mais le pain de boulangerie, c’est-à-dire réalisé par un artisan boulanger, reste à privilégier. Car à l’exception de certains produits remarquables, les biscottes et autres produits secs, moins rassasiants, devraient rester du dépannage. Ainsi que les viennoiseries qu’il convient de consommer au maximum deux fois par semaine. De plus, il convient de privilégier les produits nature et d’éviter absolument ceux qui sont fourrés. Car l’ajout de matières grasses et/ou de sucre dans la recette de base impose de ne pas les tartiner de matières garsses et/ou de sucre supplémentaire (confiture, pâte à tartiner, beurre…).Attention au gluten !
Les produits industriels contiennent fréquemment un ajout de gluten qui rend la mie plus aérée et le produit plus moelleux. Mais ce surplus de gluten peut compliquer la digestion. Cela ne vous rend pas nécessairement intolérant au gluten, mais cas surplus dans de nombreux produits et de façon cumulée peuvent finir par vous gêner !Le pain sans gluten.
Le gluten est une protéine présente dans le seigle, l’avoine, l’orge et particulièrement le blé et tous ses dérivés (pain, pâtes, biscuits, etc.). Mais d’autres produits industriels en contiennent également sous la forme d’amidon de blé ou directement de gluten. Car le gluten leurs apportent du volume et du moelleux tant recherché par de nombreux consommateurs. Si vous avez une intolérance au gluten, il convient d’être très vigilent pour le débusquer et dans ce cas les étiquettes sans gluten (logo d’un épi de blé barré) peuvent vous simplifier énormément vos achats.Attention aux produits modifiés sans gluten !
Ainsi certains produits qui ont été modifiés pour éviter le gluten ne sont pas satisfaisant, car souvent il est remplacé par des matières grasses en grande quantité, de l’huile de palme, du sucre ou de nombreux additifs.Les produits naturellement sans gluten.
Mais pourquoi ne pas simplement privilégier les produits qui ne contiennent naturellement pas de gluten comme les galettes de riz, ou les produits secs comme les tartines craquantes à base de diverses farines sans gluten, dont les recettes sont plus simples. Votre santé et votre budget seront gagnant !
Le conserver.
Le pain frais se conserve 24 à 48 heures emballé dans un sachet, un peu plus longtemps s’il s’agit d’un pain au levain. S’il est un peu dur, mouillez-le et passez-le au four. Il se congèle assez bien : faites-le ensuite chauffer dans un grille-pain ou au four, mais pas au micro-ondes, qui ramollit la croûte.
L’œuf.

L’acheter.
Les catégories.
Tous les œufs que l’on trouve dans le commerce sont étiquetés catégorie A, ce qui signifie qu’ils sont exempts de défauts majeurs (fêlures). Les œufs de catégorie B sont destinés à l’industrie agroalimentaire.Le calibre.
Avant d’être conditionnés, les œufs sont classés selon leur calibre : XL (plus de 73 grammes), L (63 à 73 grammes), M (53 à 63 grammes), S (moins de 53 grammes). La taille n’est pas un critère de qualité, car plus l’œuf est gros, plus le blanc est gros, plus le blanc est important en proportion.Traçabilité et mode d’élevage.
Les œufs sont marqués d’un code comportant le numéro distinctif du producteur et indiquant le mode d’élevage : o = poule d’élevage biologique, 1 = poule élevée en plein air, 2 = poule élevée au sol dans un bâtiment, 3 = poule élevée en cage (environ 55% des vendus aux particuliers contre 80% il y a une dizaine d’années). Le mode d’élevage est également inscrit sur l’emballage. Exemple : dans le code 3 FR WFB02, le 3 signifie que la poule qui a pondu est élevée en cage, FR précise que cet élevage se trouve en France, WFB02 désigne le producteur et le bâtiment de ponte.La fraîcheur.
La date de consommation recommandé (DCR) ou date de durabilité minimale (DDM) est inscrite sur l’emballage et sur les œufs, mais elle n’est pas toujours très visible. Elle correspond au 28ème jour suivant celui de la ponte. La mention « extra » ou « extra frais » s’applique jusqu’au 9ème jour après la ponte (la date de ponte et la date limite de 9 jours sont donc inscrites sur l’emballage).La vente en vrac.
Un présentoir doit indiquer la catégorie de qualité et de poids, le mode d’élevage, la signification du code du producteur et la date de consommation recommandée.
Le consommer.
L’œuf est un aliment de base d’une excellente qualité nutritionnelle. Il est facile à cuisiner. De plus, il est riche en protéines et en vitamines et peut figurer dans nos menus plusieurs fois par semaine.
Le conserver.
Même si les œufs sont transportés et entreposés à température ambiante dans les magasins, il est conseillé de les conserver au réfrigérateur chez soi (dans les alvéoles prévues à cet effet ou mieux, dans leur emballage d’origine) et d’éviter les variations de température (ne pas les sortir si on ne les consomme pas). Respectez la DCR (28 jours à partir de la ponte) et prenez des œufs extra-frais (moins de 9 jours) pour les usages crus ou peu cuits décrits ci-dessus.
Attention !
Il ne faut pas laver les coquilles : elles sont enduites d’une substance naturelle qui fait barrière aux micro-organismes. Pour cette raison, jetez tout œufs cassé ou fêlé.Risque de contamination des œufs.
La principale menace sanitaire est une contamination des œufs par des salmonelles (élevage infecté par cette bactérie ou contamination de l’œuf lui-même). Une surveillance des élevages et de la commercialisation permet normalement de limiter ce risque, mais on recommande aux personnes fragiles (jeunes enfants, personnes âgées ou immunodéprimées) ainsi qu’aux femmes enceintes d’éviter de manger des œufs crus (mayonnaise, tartare, mousse, etc.) ou peu cuits (œufs à la coque), la cuisson détruisant les salmonelles. A noter : Les mécanismes de surveillance et de contrôle ne sont pas toujours suffisants pour empêcher des fraudes.
Les produits bio
Préférez, si c’est possible des produits bio car ils seront forcément moins traités chimiquement et donc plus sains et aurons un meilleur goût.JE RÉALISE MA SALADE DE MÂCHE CHAUD/FROID QUI CROUSTILLE.

Pour quatre personnes.

Mon temps de préparation est de 5 minutes.

Je laisse cuire pendant 5 minutes.

MES INGRÉDIENTS POUR RÉALISER MA SALADE DE MÂCHE CHAUD/FROID QUI CROUSTILLE.
Je prends une barquette de mâche. Ainsi qu’un sachet de croûtons. Un œuf. De l’huile d’olive, du vinaigre. Et du sel, ainsi que du poivre.
POUR PRÉPARER MA SALADE DE MÂCHE CHAUD/FROID QUI CROUSTILLE.
Je fais cuire un œuf mollet dans de l’eau pendant 6 à 8 minutes (c’est-à-dire, plus que pour un œuf à la coque et moins que pour un dur).


LES PRINCIPAUX APPORTS NUTRITIONNELS DE MES INGRÉDIENTS.

La mâche.

Du bêtacarotène.
La mâche contient une bonne source de bêta-carotène qui est un précurseur de la vitamine A qui a un rôle important dans la vision, notamment au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité. Elle participe aussi à la croissance des os, à la reproduction et à la régulation du système immunitaire. Ainsi qu’elle contribue à la santé de la peau et des muqueuses (yeux, voies respiratoires et urinaires, intestins), qui constituent notre première ligne de défense contre les bactéries et les virus. En outre, elle est essentielle à la différenciation et la croissance cellulaire, car elle participe à la transcription de certains gènes et à la synthèse de certaines protéines. Enfin, elle favorise également l’absorption du fer et semble jouer un rôle dans la régulation des réponses inflammatoires.
De la vitamine C ou acide ascorbique.
Elle contient également de la vitamine C qui participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène, une protéine essentielle à la formation du tissu conjonctif de la peau, des ligaments et des os. Mais elle contribue également au maintien de la fonction immunitaire. Ainsi qu’elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux. Un des autres rôles importants de la vitamine C est son effet antioxydant qui protège les cellules contre les dommages infligés par les radicaux libres.
De la vitamine B9 ou folate.
La mâche est un source de vitamine B9, acide folique ou également folate qui participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
Du calcium.
Elle est riche en calcium qui est le sel minéral qui est le plus abondant dans l’organisme. Il représente 2 % de notre poids corporel et près de 99 % est concentré dans nos os et nos dents. Ce qui reste joue tout de même un rôle primordial dans le bon fonctionnement de toutes les cellules de notre organisme, dont les cellules musculaires (notamment celles de notre cœur) et les cellules nerveuses. En outre, le calcium participe également aux fonctions rénales, au mécanisme de la coagulation sanguine ainsi qu’à plusieurs processus enzymatiques.
Du potassium.
La mâche représente un apport en potassium qui est diurétique et conditionne la quantité d’eau présente dans les cellules. Mais il est également essentiel à l’action de nombreuses enzymes, et participe à la synthèse des protéines et du glycogène (forme de stockage du sucre). Ainsi qu’il intervient dans la sécrétion de l’acide chlorhydrique du suc gastrique favorisant ainsi la digestion. Mais également dans la production d’aldostérone (une hormone qui régule les quantités de sodium et de potassium présentes dans l’organisme). En outre, il est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles. Enfin, il régule le rythme cardiaque, module les variations de la tension artérielle liées aux apports de sodium et sert à équilibrer le pH du sang. Et il est très riche en éléments alcalisant.
Du magnésium.
Elle nous apporte du magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du fer.
La mâche nous apporte aussi du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C. Tiens, notre mâche en contient justement. La nature n’est-elle pas parfaite ? 😊
Les croûtons de pain.

Des protéines.
Il contient un bon apport en protéines. Mais elles n’ont pas une grande valeur biologique car elles sont dépourvues de lysine qui est un des acides aminés essentiels à notre organisme.
Des glucides.
Le pain est un féculent qui se caractérise par sa richesse en glucides des complexes.
Du manganèse.
Un énorme apport en manganèse dépassant de trois fois les apports journaliers recommandés.
Du fer.
Un excellent apport en fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Du zinc.
Un excellent apport en zinc qui participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau. Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Du phosphore.
Un excellent apport en phosphore qui joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Ainsi que pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
Du magnésium.
Un bon apport en magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Ainsi qu’il permet de réguler notre métabolisme et intervient dans la transmission de l’influx nerveux. De plus, il améliore l’équilibre nerveux et limite la fatigue, le stress et les fringales.
Du sélénium.
Un apport appréciable en sélénium qui interagit avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.
De l’iode.
Un bon apport en iode qui est un oligo-élément essentiel à la régulation et à la production des hormones de la thyroïde, responsable du métabolisme de base de l’organisme, de la respiration cellulaire, de la production d’énergie sous forme d’ATP, mais aussi de la croissance, de la synthèse des protéines, de la bonne santé de nos organes et de notre cerveau. Il permet de réguler la production d’hormones.
De la vitamine B1 ou thiamine.
Un faible apport en vitamine B1 qui participe à de nombreuses réactions métaboliques des glucides, de production d’énergie et du bon fonctionnement de notre système nerveux.
De la vitamine B2 ou riboflavine.
Egalement un faible apport en vitamine B2 qui participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte.
De la vitamine B3 ou niacine.
Un excellent apport en vitamine B3 qui participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides et des protéines que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normal.
De la vitamine B6 ou pyridoxine.
Un bon apport en vitamine B6 qui fait partie des coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leurs permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.
De la vitamine B9 ou folate.
Un apport appréciable en vitamine B9, acide folique ou également folate qui participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du fœtus.
De la vitamine E.
Un faible apport en vitamines E qui joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Des fibres.
Les très nombreuses fibres du pain améliorent le transit intestinal. Mais, il faut être vigilant en cas de constipation spasmodique.
Du sodium.
Les farines ne contiennent pas de sel, mais on en ajoute lors la réalisation de notre pain. Ainsi le pain nous apporte déjà près du quart de la consommation de sodium (du sel) recommandé par jour.
L’œuf.

Des protéines.
L’œuf est un aliment protéique d’excellente qualité : il contient les 8 acides aminés essentiels à la croissance et à l’entretien du corps humain que l’organisme est incapable de synthétiser. Les protéines servent surtout à former, à réparer et à maintenir en bon état les tissus, comme la peau, les muscles et les os. Elles servent aussi à la formation des enzymes digestives et des hormones.
De la vitamine B.
L’œuf est également une très bonne source d’une vitamine du groupe B nommée choline. Cette vitamine qu’on retrouve essentiellement dans le jaune de l’œuf, joue un rôle essentiel dans la formation, le maintien et la réparation des fonctions cérébrales. Des études ont également montré l’efficacité de cette vitamine sur la mémoire et la concentration. De plus, la choline pourrait être efficace contre la maladie d’Alzheimer. Cette maladie est associée un déficit en acétylcholine. Or la choline est un précurseur de ce neuromédiateur. Des études ont montré des effets bénéfiques chez des personnes âgées souffrants de déficits cognitifs, au niveau de leur mémoire. Des études plus poussées restent à réaliser, mais cela reste une piste intéressante.
Phosphore.
Son phosphore joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. Il est également indispensable pour permettre de métaboliser les lipides. De ce fait, il évite que les graisses s’accumulent dans le foie et permet qu’elles soient digérées. Mais son rôle est aussi prépondérant dans la formation de collagène et pour le bon fonctionnement des yeux et de la peau. De plus, il permet d’emmagasiner et produire l’énergie dont nous avons besoin pour contracter nos muscles et permettre à notre corps de bouger. Mais il participe aussi à la croissance et à la régénération des tissus et aide à maintenir le pH de notre sang en neutralisant les excès d’acides ou d’alcalins.
Fer.
L’œuf contient du fer qui est utile à notre organisme pour transporter l’oxygène et fabriquer les globules rouges du sang. Il permet également de fabriquer des nouvelles cellules, des hormones et des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Pour favoriser son absorption, il est conseillé de l’associer à certains nutriments, tels que la vitamine C.
Zinc.
Le zinc qu’il contient participe aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la fabrication, la mise en réserve et à la libération de l’insuline. De plus il a un rôle prépondérant lors de la synthèse des protéines. Il agit également en tant qu’antioxydant en neutralisant les radicaux libres et il protège les cellules de la peau. Pour favoriser son absorption, il convient comme pour le fer de le consommer en même temps que des aliments riches en vitamine C.
Cuivre.
L’œuf contient du cuivre qui est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Sélénium.
Il contient du sélénium qui est un minéral qui travaille avec l’une des principale enzyme antioxydante, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans le corps. Il contribue également à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.
Des acides gras insaturés.
L’œuf contient des acides gras insaturés (AGI) qui font partie de la famille des acides gras, à la base de la formation des lipides. Ils comportent une ou plusieurs doubles liaisons carboniques. On peut distinguer ainsi respectivement les acides gras monoinsaturés et les acides gras poly-insaturés. Ils ont de nombreuses fonctions importantes dans l’organisme et jouent notamment un rôle dans la synthèse hormonale et combattent l’hypertension artérielle. De plus, ils ont des effets « anticholestérol », qui protègent notre cœur. Les principales sources alimentaires de ces acides gras sont les huiles végétales, la viande, les poissons gras et les œufs.
De la vitamine A, rétinol ou bêta-carotène.
Il contient du bêta-carotène qui est un précurseur de la vitamine A qui à un rôle important dans la vision, notamment au niveau de l’adaptation de l’œil à l’obscurité. Elle participe aussi à la croissance des os, à la reproduction et à la régulation du système immunitaire. Ainsi qu’elle contribue à la santé de la peau et des muqueuses (yeux, voies respiratoires et urinaires, intestins), qui constituent notre première ligne de défense contre les bactéries et les virus. En outre, elle est essentielle à la différenciation et la croissance cellulaire, car elle participe à la transcription de certains gènes et à la synthèse de certaines protéines. Enfin, elle favorise également l’absorption du fer et semble jouer un rôle dans la régulation des réponses inflammatoires.
De la vitamine B12 ou cobalamine.
Sa vitamine B12 est essentielle à la croissance, à la division cellulaire, au fonctionnement adéquat de toutes les cellules du corps et à l’équilibre du système nerveux. Elle intervient plus précisément dans la synthèse de l’ADN et de l’ARN, des protéines, de la myéline (substance qui forme une gaine autour de certaines fibres nerveuses), dans la formation des globules rouges, ainsi que dans le métabolisme des glucides et des lipides.
De la vitamine D ou calciférol.
L’œuf contient de la vitamine D également appelée calciférol qui intervient dans le l’absorption du calcium et du phosphore. Elle joue un rôle essentiel dans la minéralisation des os. Il s’agit d’une vitamine liposoluble (solubles dans les graisses). La vitamine D a deux origines : l’alimentation et une production par la peau quand elle est exposée aux rayons solaires. Les personnes qui vivent dans des régions peu ensoleillées ou qui sortent peu (personnes âgées) doivent tout particulièrement veiller à leurs apports d’origine alimentaire.
De la vitamine E.
Sa vitamines E joue un rôle essentiel dans la protection de la membrane de toutes les cellules de l’organisme. Elle est antioxydante, c’est-à-dire qu’elle contribue à la neutralisation des radicaux libres dans l’organisme. De plus, elle empêche ou réduit l’oxydation des cellules cardiovasculaires. De plus la vitamine E a aussi des propriétés anti-inflammatoires, antiplaquettaires et vasodilatatrices. Ces effets, qui ne sont pas reliés à son activité antioxydante, jouent également un rôle cardioprotecteur.
Des caroténoïdes (lutéine et zéaxanthine).
Le jaune d’œuf contient des caroténoïdes au pouvoir antioxydant très puissant (qui donnent sa couleur au jaune d’œuf). Comme tous les antioxydants, elles permettent de neutraliser et de réduire les radicaux libres. Ce qui permet de limiter les dommages des cellules. Mais elles sont surtout connues pour leurs effets protecteurs au niveau des yeux. Car elles aident à prévenir les maladies liées à l’âge comme la cataracte ou la dégénérescence maculaire (DMLA).
De la vitamine B2.
Sa vitamine B2 participe au métabolisme des glucides (sucres), des lipides (graisses) et des protéines. Ainsi que dans la production de kératine, une protéine indispensable au bon état des cheveux, des ongles et de la peau. Mais elle permet également de prévenir l’anémie, certains cancers, ainsi que des troubles de la vision, dont la cataracte.Un allergène.
Les protéines du blanc d’œuf contiennent un allergène potentiel. Cette allergie est souvent transitoire et disparaît après quelques années. Elle est très rare chez les adultes.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :



